De una petia brueriarum in bosco de Crechiis, ex dono Hemardi de la Marche.

  • A Original en parchemin. — Inv., p. 142, l. 1, nº 17 bis.
  • a Cartulaire de l’abbaye Notre-Dame des Vaux-de-Cernay, de l’ordre de Cîteaux, au diocèse de Paris, éd. Lucien Merlet et Auguste Moutié, Paris, 1857-1858.
D'après a.

A touz ceus qui ces lettres verront, Henri de Taperel, garde de la prévosté de Paris, salut : Sachent tuit que Hémart de la Marche, escuier, et madam Marie, sa fame, affermèrent et recognurent avoir vendu, quitté, cessé, délessié et du tout transporté, desorendroit à touz jours, à religieus hommes et honnestes, l'abbé et le couvent des Vaus de Sarnay, à leurs successeurs et à ceus qui de eus ont et auront cause, une pièce de bruières que il avoient, assis au bois de Cresches, tenant d'une part ausdiz religieus, et d'autre part au prieur de Loncpont, derrière une pièce de paastiz que il avoient assis en ce meisme lieu, tenant d'une part au prieur de Loncpont dessusdit, et d'autre part à Jehannot du Buisson, escuier, et aussi tout le cenz que Gilart, le fuiz Esdeline de Limos, leur devoit chascun an sus une pièce, que terre que bruière, tenant d'une part au bois dessusdit, et d'autre part au pré de Pisselou, c'est assavoir pour le pris de treze libres et sis souz parisis, etc...................

En tesmoing de ce, nous, à la requeste desdiz mariez, avons mis en ces lettres le seel de la prévosté de Paris,  »