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. Paris
Testament olographe de René Maximilien Fourcès, mort pour la France à Massiges (Marne), le 25 septembre 1915.
Papier timbré, 2 pages, dim. 24,9 x 17,8 cm, encre ; enveloppe, dim. 9 x 13 cm, encre, 5 cachets.
Cote aux Archives nationales : MC/ET/LXXXIX/2399, minute du 17 juin 1920
Ceci est mon testament :
Je soussigné Fourcès René Maximilien
demeurant à Paris 7 rue Antoine Vollon
déclare instituer pour mon légataire
universel ma femme
Marthe Fourcès née
Elichabe. En conséquence je lui lègue
tout ce qui compose ma succession pour en
jouir et disposer en toute propriété.
Je charge ce légataire universel de remettre
à ma mère, tout ce que j’ai apporté de
Clichy lors de mon mariage (meubles
de la
salle à manger, suspension, pendule et
candélabres).
Je désirerais que la moitié au moins de
ma pension revienne à ma mère
Madame
Fourcès Déliet.
Fait et écrit entièrement de ma main
Paris le 28 février 1915.
Fourcès
Deuxième page(Page blanche, non numérisée)
Ceci est mon testament
Fourcès
Verso de l’enveloppe(Cachets)
