Varin (17..-18..)
Avocat à Caen
Il plaide pour les insurgés de Rouen en 1848.
Personne citée dans :
- les éphémérides :
- Carnet 2 : page 36 (17 avril 1853)
Avocat à Caen
Il plaide pour les insurgés de Rouen en 1848.
Identifiant international : ISNI 0000 0001 2099 993X
Autre(s) notice(s) relatives à la même personne : BnF : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb130095484/PUBLIC
Polytechnicien d’opinions républicaines, il travaille comme
ingénieur des Ponts et Chaussées. Il part au Brésil entre 1840 et 1846 où il conduit d’importants
travaux. Élu représentant du peuple en 1848, il prend part à
la journée du 13 juin 1849, après laquelle il est
condamné à la déportation par la Haute Cour de justice de
Versailles. Sa peine est commuée
en bannissement en 1855, grâce à l’intervention de
Proudhon. Rentré en
France en 1859, il travaille comme
ingénieur civil. Il est chef de bataillon de la garde nationale parisienne en 1870, et démissionne le 18 mars
1871. Il est candidat malheureux à la députation sous la IIIe République.
Références bibliographiques : Maitron, Dictionnaire
biographique du mouvement ouvrier..., t. 3.
Voir aussi : Proudhon, Pierre Joseph
Surnommé Veju
par H. Delescluze.
Chapelier à Vaugirard
Il est condamné après les journées de Juin à la déportation, peine ensuite commuée en dix ans de détention.
Peintre de genre belge.
Figure du parti républicain sous la monarchie constitutionnelle,
il est membre de la Société des droits de l’homme et plusieurs fois condamné. Il
s’évade de Sainte-Pélagie en juillet 1835 et s’exile.
Revenu en France, il est avocat à
Tarbes, commissaire du
gouvernement provisoire dans les
Hautes-Pyrénées en 1848, puis élu à la
Constituante. Il n’est pas élu à l’Assemblée législative, et quitte peu après la vie
politique.
Références bibliographiques : Maitron, Dictionnaire
biographique du mouvement ouvrier..., t.
3.
Bijoutier à Belleville
Il participe aux journées de juin 1848 à la suite desquelles il est condamné à cinq ans de détention par le 2e conseil de guerre de la 1ère division militaire. Il est gracié par décision présidentielle du 21 mai 1852.