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Procès-verbal. — Colin de la Seraine, poissonnier d’Orléans, accepte que ses biens soient vendus dans les huit jours s’il ne paie pas à Perrin Fouchier les 32 s. p. qu’il lui doit pour solde des arriérés d’une rente annuelle de 6 l. p. Il répond ainsi à la saisie que veut en faire le sergent Guillaume Venet.
122 r° Colin de la Seraine, poissonnier d’Orleans, consent et vieult ses biens estre venduz tous fourmitez dedens VIIIe se il ne paie 1 1. Suit dedens, biffé. a Perrin Fouchier d’Orleans XXXII solz parisis, monnoie courant a present, que il doit audit Fouchier, de reste de greigneur somme pour raison de tous les arreraiges quelxconques que ledit Colin lui povoit devoir a cause de six livres parisis de rente que ledit Fouchier a droit de prandre et avoir chacun an de rente en et sur l’ostel ou demeure a present ledit Colin et dont Guillaume Venet sergent le vouloit executer. Instrument etc.