Il est né le 12 mars 1798 à Sedan (Ardennes). Il a été négociant en laines.
Il est né le 5 juin 1843 à Montdidier (Somme). Son père était chapelier.
Il échange son brevet pour Ham (Somme) contre un brevet pour Romilly.
Il est né le 5 juin 1843 à Montdidier (Somme). Son père était chapelier. Il a habité Montdidier jusqu'en 1865 et travaillait comme écrivain lithographe.
Après son brevet de lithographe, il obtient un brevet de libraire le 20 novembre 1865. Bien qu'il ait soutenu sa demande de brevet par le grand nombre d'établissements industriels à Ham, il cherche rapidement à changer pour Creil (Oise), ce qui lui est refusé le 5 décembre 1866. Il demande ensuite un échange pour Romilly-sur-Seine qui est accepté le 27 février 1867. Il renonce à son brevet de libraire.
16, cour et passage des Petites Écuries (juin 1867) 18, rue Fontaine-au-Roi (1861)
Il est né le 30 novembre 1824 à Orléans (Loiret) ; son père était jardinier. Il est célibataire. Il a travaillé comme prote chez la veuve Smith. et lui rachète son établissement
Il possède une instruction, une aptitude et une honorable aisance ; il remplit donc les conditions pour obtenir le transfert des trois brevets de la veuve Smith. Le brevet d elibraire lui est nécessaire pour vendre lui-même sa production d'ouvrages de religion protestante : bulletins et brochures émanant de l'Église réformée de Paris, de la Société biblique protestante, de la Société du Sou protestant... Il ne semble pas avoir beaucoup utilisé la lithographie et se sépare rapidement de son brevet. La mention "Typographie et lithographie de Ch. Maréchal" disparaît en 1863, alors que l'imprimerie typographique poursuit son développement.
37, rue Bannier
Elle reprend l'imprimerie de son mari décédé.
3, rue de la Harpe
Il est marchand de curiosités et de livres anciens et modernes.
Il possède aussi une presse typographique.
Il est né à Autun (Saône-et-Loire) le 22 juin 1831. Son père était relieur. L'enquête de moralité le peint laborieux et honnête.
Il est papetier et relieur, installé à Saulieu depuis un an quand il demande son brevet de lithographe. L'enqquête statistique de 1876 note qu'il a quitté Saulieu depuis plusieurs années.
Il est né le 23 janvier 1837.
Il reprend l'imprimerie et le brevet de son frère. En 1872, l'imprimerie est cédée aux frères Piaget.
Il est né le 18 septembre 1825 à La Balme-de-Thuy (Haute-Savoie).
Détenteur d'un récent brevet sarde, il régularise sa situation auprès de l'administration française. En 1867, il se démet en faveur de son frère.
Il est né le 11 novembre 1811.
Il obtient un brevet de typographe en même temps que son brevet de lithographe.
Il est représentant de commerce.
Il utilise une presse autographique pour ses affaires commerciales.
Il est né à Rouen le 20 mai 1774 ; sa mère était ravaudeuse. Il a travaillé six ans chez Crapelet et Didot, puis il a été prote à Rouen. Il meurt le 9 octobre 1839.
Il a racheté une imprimerie et publie la Chronique de l'Europe et petites affiches de Rouen. Il a obtenu un brevet héréditaire d'imprimeur en lettres le 13 mai 1820 en échange du brevet à vie qu'il avait reçu en 1818. Il a 5 presses et 12 ouvriers en 1829, 16 en 1835. Le brevet de lithographe lui est nécessaire, dit-il, car il a une clientèle surtout judiciaire qui se tourne de plus en plus vers la reproduction lithographique.
Elle est née le 14 novembre 1782. Elle a épousé l'imprimeur Potier qui meurt fou et laisse beaucoup de dettes.
À la mort de son mari, elle reprend ses trois brevets. Elle se démet d'abord de celui de typographe en faveur de Le Treguilly le 30 mai 1851, à qui elle cède ensuite celui de lithographe. Son brevet de libraire sera annulé en juin 1861 après son décès. En mai 1849, elle avait été condamnée à 2 000 F d'amende pour défaut de déclaration et de dépôt pour des circulaires électorales ; l'amende sera réduite à 50 F en raison de sa situation.
Il est né le 31 mars 1797 à Lyon ; son père était fabricant de coton. C'est un dessinateur habile qui veut utiliser la lithographie pour reproduire des oeuvres d'art.
12, rue Paradis 3, boulevard de la Corderie 6, rue d'Aubagne (1853 ;1870) 18, rue Venture
Il est né le 26 août 1817 à Marseille où son père était aubergiste. Il est lithographe "depuis sa sortie de l'école".
Il possède deux presses en 1870, trois en 1879.
Il est né le 29 mars 1801 à Béziers. Sonpère, qui était chef de bataillon dans l'armée napoléonienne, est mort de ses blessures à Lutzen. Il est un ancien boursier de la cassete de Napoléon. Il a été compositeur pendant treize ans, puis prote pendant six ans chez Bousquet.
Il a obtenu un brevet d'imprimeur en lettres le 3 janvier 1831, puis de libraire le 5 août 1833, avant de recevoir celui de lithographe. Il est l'imprimeur de la mairie et de la sous-préfecture. En 1846, il demande un transfert de ses brevets pour Perpignan qui lui est refusé.
Il est né le 21 juin 1827. Il est le fils de l'ancien imprimeur devenu commissaire de police de Bessan ; sa mère est repasseuse. Il est bachelier ès lettres.
Son brevet est annulé en 1855 car l'enquête statistique de 1851 a noté qu'il n'est pas exploité..
Il est né à Salins (Jura) le 22 août 1842. Il a été ouvrier typographe.
Le 10 octobre 1876, il a déclaré reprendre l'activité typographique de l'imprimeur Daubourg.
C'est un enfant naturel né le 3 mai 1820 et reconnu quatre ans plus tard lors du mariage de ses parents. Son père, lieutenant dans les armées impériales, a fait la campagne de Russie. Il était chevalier de la Légion d'honneur. Il a ensuite travaillé pendant 30 ans au service des Douanes. Ses soeurs sont blanchisseuses et lui-même est ouvier lithographe.
78, avenue de l'Empereur (Courbevoie)
Né le 25 novembre 1830 à Paris. Son père était le papetier Augustin Marion. Il est marié, sans enfant.
Il possède déjà une grande papeterie vendant enveloppes, papier à lettres et produits pour la photo. Il est installé Cité Bergère où il paie un loyer de 11 000 F et il a une succursale à Londres. Il demande en 1865 à avoir une presse à timbrer humide (système Lecoq) pour faire des en-têtes de lettres ou des adresses et obtient une autorisation révocable.
16, Cité Bergère (1838)
Il est né le 1er février 1800 à Poilly dans l'Yonne. Son père était maréchal- ferrant. Il est marié et père de famille. Il tient un commerce de papeterie "assez prospère" et paie un loyer de 2 600 F.
Il veut donner à son commerce une nouvelle extension bien qu'il ait peu de connaissance de la lithographie. Son brevet est annulé pour non-exploitation en 1860, alors qu'il tient toujours un commerce de papeterie et agit comme commissionnaire. Il fait désormais travailler d'autres imprimeurs lithographes comme Mirandel.
4, rue de Verneuil (1825) 19, rue du Bouloi (1826) 1, rue de Seine Saint-Germain (1846), à l'Institut 1, rue Saint-Benoît / angle rue Jacob, ancienne tourelle de Saint-Germain-des-prés (atelier)
Il est né en 1771 (?) à Autun et mort à Paris en 1846. Il est artiste peintre, élève de Regnault, sous l'influence de qui il peint d'abord des scènes antiquisantes néo-classiques. Dans les années 1840, il expose régulièrement au Salon et obtient une médaille d'or au Salon de 1842 pour "Une première communion de jeunes filles". En avril 1845, il quitte son atelier de la rue Saint-Benoît et vend certains de ses propres tableaux et sculptures, dessins et lithographies ainsi qu'une partie de sa collection de tableaux. Au moment de sa mort, en 1846, le Journal des artistes lui rend hommage : "Ce fut l'un des artistes les plus féconds et les plus élégants ; il a fait plusieurs grands tableaux ainsi que beaucoup de tableaux de genre et un grand nombre de portraits d'une ressemblance frappante ; celui de ses esquisses est incalculable. Mais ce qui a fait la réputation de Marlet et ce qui a popularisé son nom, ce sont ses dessins et ses lithographies ; il n'eût fait que ces lithographies qu'il eût été considéré comme un grand artiste." La vente organisée après son décès confirme l'abondance de cette production sortie de ses propres presses ou de celles d'autres imprimeurs.
Sa demande de brevet est soutenue par plusieurs personnalités dont le comte de Chabrol, préfet de la Seine. Dès 1818, il travaille pour les impressions lithographiques d'Engelmann (Galerie des Militaires Français qui à différentes époques se sont distingués par leur courage), Lasteyrie ou Motte. Il participe à l'illustration de l'édition de La Henriade, ornée de dessins lithographiques (1825) et donne des "portraits des plus fameux croisés" pour l'Histoire des croisades de Michaud. De sa propre imprimerie sortent les Tableaux de Paris, dont les Annales de l'industrie nationale font une élogieuse critique en 1823, puis les Nouveaux tableaux de Paris, recueils, vendus par livraisons, de très belles scènes pittoresques dues pour la majorité à son crayon, des Vues de Dijon, des scènes pittoresques d'Inde par Midy, d'Italie par Clérian, des portraits, des vignettes de couverture pour des partitions musicales... À partir de 1829, l'imprimerie a pour raison sociale Imprimerie lithographique Marlet et cie et Brégeaut, qui a dû céder son propre brevet, semble en avoir pris la direction. La production de l'imprimerie semble ensuite ralentir, puis cesser complètement. Marlet continue à dessiner pour des confrères comme Bénard (Attentat du 28 Juillet), Villain ( Pont-Royal, le 19 Novembre 1832 ) ... Son brevet est annulé en 1854 pour cause de non-exploitation "depuis plus de vingt ans".
Il est né à Cuiseaux (Saône-et-Loire) le 8 octobre 1833 ; son père était libraire. Il a travaillé comme écrivain et dessinateur lithographe à Lyon.
Son successeur est Auguste Roux.
Place de l'Hôtel de ville
Il est né le 26 octobre 1801 à Lyon (Rhône) ; son père était chapelier. Il est d'abord papetier.
Il a été associé à Créhange qui, peu après l'obtention de son brevet, a abandonné les affaires et est parti pour Paris.
3, rue Buffon
Il est né à Nîmes (Gard).
Il pratique la typographie et la lithographie.
Il est né le 3 juillet 1828 à Toulouse ; son père était fabricant de cartes. Il a travaillé sept ans chez Mercadier aîné.
En 1854, il fait une demande de brevet pour l'utilisation de la presse en taille douce qu'il possède et utilise déjà. Sa demande est rejetée le 30 juin 1854 sur la foi "de mauvais renseignements" : il est considéré comme le prête-nom de Mercadier aîné qui ne pouvait plus exercer ayant vendu à Salette ; or Mercadier est considéré comme un légitimiste dangereux. L'affaire s'arrête car Marquès meurt le 9 juillet 1854 et son brevet sera annulé en 1860.
3, rue Sainte-Marguerite
Né le 17 novembre 1841 à Toulon (Var). Son père est militaire au moment de sa naissance.
Il est propriétaire, en vertu de la loi du 11 mai 1868, d’une imprimerie spéciale pour imprimer la Revue de Cannes, à partir d’octobre 1869. Ce journal, comme Le Rappel de la Provence, que son directeur voulait faire imprimer chez Marquès, " a toujours attaqué de la manière la plus violente tous les actes du gouvernement auquel il fait une opposition systématique" (rapport du 18/03/1870).
Il fait une déclaration en septembre 1870 de transformation de son imprimerie spéciale en imprimerie ordinaire, complétée d’une activité de lithographie.
51, rue des Étuves
Il est né le 18 mars 1814 à Vias (Hérault) où son père était propriétaire foncier. Il est écrivain lithographe.
Il imprime trois planches consacrées à Saint-Guilhem-du-désert, réunies avec 19 autres imprimées par Boehm, dues à J.-B. Laurens, pour Histoire, antiquités et architectonique de l'abbaye de Saint-Guilhem-du-désert (1837). Le 26 janvier 1839, il annonce aux lecteurs du Courrier du Midi que "rappelé à Paris par ses affaires, il cède son matériel à Boehm qui le joint à son ancien établissement pour lui donner toute l'extension nécessaire". Son brevet sera annulé. Il semble qu'il se soit tourné ensuite vers la photographie.
Il est né le 18 août 1797 à Lorient (Morbihan) ; son père était cordonnier. Il est marié et père de six enfants. Il est ouvrier lithographe à Bordeaux depuis 16 ans.
L'un de ses fils Jean Charles est ouvrier lithographe et demandera sans succès un brevet par création en 1852.
10, rue du Change
Il est lithographe, installé à La Rochelle.
Il a acquis deux presses lithographiques pour faire des travaux de ville.
Il est né le 8 juin 1822 à Issoire (Puy-de-Dôme). Depuis 1837, il est typographe.
Il obtient ensemble les trois brevets d'imprimeur en lettres, libraire et lithographe. Il est le premier imprimeur de la ville, et son installation a été largement soutenue par les notables locaux qui ont fait valoir la nécessité d'avoir un imprimeur pour les publications administratives. Cependant, il est plus tard accusé de profiter de son monopole local pour pratiquer des prix élevés et la venue d'un concurrent est souhaitée. L'enquête de 1851 note que le brevet de lithographe n'est pas exploité, "vu le peu de ressources qu'offre pour cette industrie, la petite ville de Murat". Au commissaire qui le visite le 19 août 1854, il annonce qu'il renonce à son brevet de lithographe "ne voyant pas la possibilité d'en tirer parti dans la ville de Murat". Le brevet est donc annulé.
13, rue Guérin Boisseau (mars 1851) 29, rue Nationale Saint-Martin
Il est né le 30 juillet 1822 à Santilly (Eure-et-Loir) ; son père était aubergiste. Il est marié, aisé et d'opinions conservatrices.
Papetier, il est associé avec son beau-frère, fabricant négociant de papiers peints.
Il est avoué au tribunal civil de Nérac.
Il utilise une presse autographique pour ses besoins professionnels.
Il est né le 24 mai 1805 à Montpellier dans une famille où l'on est imprimeur de père en fils depuis près de deux siècles.
Il prend la succession de son père qui vient de mourir, reprend son brevet de typographe et obtient le même jour celui de lithographe.
Il est né le 2 juillet 1804.
Il a obtenu le brevet d'imprimeur en lettres le 2 novembre 1831 et celui de libraire le 19 juillet 1835. A partir de 1840, il imprime avec Cantié Le Castrais, journal d'annonces. En 1844, il cherche à démissionner en faveur de Massiès à qui il a vendu son imprimerie pour 6 000 F, mais l'administration refuse au motif que Massiès est "un médiocre ouvrier imprimeur" ; le rapport de police note surtout qu'il a "des opinions exaltées" et qu'il est le gérant de l'Union du Tarn, journal d'opposition. La vente est annulée mais, décidé à se retirer, il prête son matériel à son confrère Vidal en attendant de trouver un autre successeur, agréé le 11 juillet 1846. En 1850, il vend son fonds de librairie. Son brevet de lithographe est annulé en 1855 pour inexploitation.
77, rue Montmartre (avril 1860) 6, rue d'Antin (1839) 92, rue de Richelieu (1834) 39, rue Coquillère (1832)
Il est né le 17 avril 1801 à Orléans ; son père était bonnetier. Il est garde national depuis le 1er août 1830.
Écrivain lithographe, il a fait une première demande le 29 août 1828, puis une seconde le 29 septembre 1829 ; le 19 février 1830, bien qu'appuyée par le député du Loiret, sa demande est rejetée au motif qu'il y a trop de lithographes à Paris. Associé à Delamotte et Jouy, il fait rouler 18 presses. Il imprime en 1834 les fac-similés d'enluminures de la Librairie de Jean de France, duc de Berry, rassemblées par le comte de Bastard. Il est spécialisé en transport sur pierre des gravures sur cuivre ou acier. Le 26 mars 1860, ses presses sont saisies et vendues. Il obtient une médaille de bronze à l'Exposition de 1839, rappelée en 1844.
Il est âgé de 23 ans en 1879 ; il a été graveur à Paris.
Il rachète avec son père Charles Pierre Martet, employé aux usines du Creusot, l'imprimerie de Jean-Baptiste Larcher.
Il est né le 20 janvier 1804 à Rennes ; son père était capitaine de cavalerie, mais, par sa mère, il appartenait à une famille d'imprimeurs. Il a fait ses études au collège royal de Rennes, puis il a travaillé dans l'imprimerie de son oncle Cousin-Danelle, dont il a pris ensuite la direction.
Il reprend l'imprimerie de son oncle et reçoit son brevet d'imprimeur en lettres le 21 mars 1828, avant de faire la demande d'un brevet de lithographe par création. À cette époque, il possède huit presses et il a la clientèle des principales administrations rennaises. Il édite des ouvrages de droit, de littérature et d'histoire et publie les Petites affiches et feuille judiciaire, commerciale et industrielle d'Ille-et-Vilaine, puis de 1830 à 1849, L'Auxiliaire breton, journal politique, judiciaire, industriel et d'annonces du département d'Ille-et-Vilaine et des départements de l'Ouest.
Il est né le 2 juillet 1820 à Nantes (Loire-inférieure) ; son père était raffineur. En 1848, il a déjà seize ans d'expérience de l'imprimerie, dont quatre à Avranches ; il a travaillé chez Flamend. Il meurt en 1880.
Il fait une première demande de brevet en 1847, rejetée au motif qu'il n' y a pas place pour un lithographe supplémentaire. Il l'obtient néanmoins en 1848. Il travaille avec un associé, Laurent, et demande s'il peut faire figurer dans la raison sociale de l'imprimerie ; il lui est répondu qu'il peut seulement utiliser Martin et cie. Il a ensuite un autre associé, le dessinateur Lilman. En 1850, sans doute pour cause de difficultés financières, il demande à transférer son brevet à Condé-sur-Noireau, ce qui lui est refusé car le lithographe déjà breveté n'a pas de clientèle, mais on compte sur son fils pour dynamiser l'imprimerie de son père et répondre de façon satisfaisante aux besoins de la population locale. En 1855, il cède son brevet à Tribouillard pour qui il se met à travailler.
16, rue des Orfèvres
Il est né à Avignon le 6 janvier 1845.
Il est né le 18 janvier 1786 à Auriol. Il a été secrétaire de la mairie d'Auriol pendant vingt ans. Dans sa jeunesse, il avait été imprimeur et ses deux fils le sont. Il meurt le 31 mars 1854.
En 1835, alors qu'il était à Paris, il avait sollicité un brevet pour Poitiers qui lui avait été refusé. Il obtient le même jour les brevets de typographe et de lithographe pour Auriol. Il semble qu'il n'ait jamais exploité le second qui est annulé en 1860.
Il est né le 10 janvier 1797 à Cluny (Saône-et-Loire).
Il a d'abord obtenu, après une longue attente, un brevet de libraire le 18 août 1828 (qui sera annulé en juin 1860). Il demande un brevet de lithographe pour faire des travaux de ville. En septembre 1831, Rosenfeld rachète l'imprimerie et demande, en janvier 1832, le transfert des deux brevets. L'administration lui reproche d'avoir tardé à faire sa demande, mais surtout d'afficher dans sa vitrine "des dessins les plus insultants pour le gouvernement et les plus propres à irriter les partis, à égarer les passions du peuple, sans parler des gravures obscènes ; une foule de personnes de classe inférieure, de soldats sont sans cesse arrêtés devant ce magasin et les homme sages ont peine à concevoir que cela puisse être toléré." Le Préfet conclut en demandant que le transfert des brevets soit refusé à Rosennfeld. Le magasin ferme un moment, puis rouvre, transaction annulée, en reprenant le nom de Martin. L'administration ne peut s'y opposer, mais craint que Martin ne soit plus qu'un prête-nom et enjoint au Préfet : "Surveillez que c'est bien lui qui exploite." En fait, il cède immédiatement son imprimerie à Bources.
Né le 15 aoput 1805 à Vigneux dans l'Aisne. Son père était médecin. Il est bachelier ès lettres.
Il est déjà libraire (16/02/1830). Il projette s’il obtient son brevet de lithographe d’imprimer des cartes de géographie muettes et des exercices pour l’enseignement de la lecture, et divers papiers pour les affaires judiciaires et commerciales.
Il est né en Suisse, à Lausanne, de parents français, le 24 décembre 1834. Il est écrivain lithographe depuis 12 ans, ayant travaillé notamment chez Parceint.
Il tient un commerce important de papeterie. Cela semble justifier l'attribution d'un brevet de lithographe par création.
9, quai du Canal
Il est né le 12 avril 1837 à Digne (Basses-Alpes). Son père était fabricant de chocolat. Il est écrivain lithographe, venu habiter à Aix depuis trois mois.
Le 7 novembre 1863, il est condamné à 1 000F d'amende pour avoir imprimé sans la déclarer une lettre pleine d'invectives contre le maire d'une commune de l'Hérault. En considératilon de son inexpérience, son amende est ramenée à 100 F.
Rue Saint-Sauveur / Place Grignon
Il est né à Angrié (Maine-et-Loire) le 15 août 1846. Il a été instituteur à La Bohalle.
Il remplace Gérard comme libraire, lithographe et typographe.
Il est né le 10 mai 1835 à Rions (Gironde) ; son père était ingénieur des Ponts et Chaussées.
8, rue du Plâtre
Il est graveur et lithographe.
Il est né le 23 février 1834 à Grenoble où son père était directeur de l'enseignement mutuel. Depuis plusieurs années, il est employé à la Recette générale de l'Isère.
L'annulation des brevets des lithographes Rauh et Dupont permet à l'administration de lui attribuer un brevet par création. Il est annulé à son tour en 1863 car Martin a quitté Grenoble.
Il est né le 12 octobre 1820 à Montpellier ; après avoir servi sous l'Empire et reçu la Légion d'honneur, son père était pâtissier.
Il a cessé d'exercer en 1860 pour cause de maladie. Il n'a pas eu de successeur.