Il est né le 11 novembre 1857 à Marseille.
5, rue du Salé
Il ets né le 19 septembre 1827 à Toulouse ; son père était employé. Il est ouvrier lithographe.
Il a cessé quelques temps d'exploiter son brevet à la suite de la mort de sa femme. Revenu de Paris, il installe sa presse lithographique à la maison d'éducation correctionnelle de l'abbé Berthier. En juin 1859, il fait l'acquisition d'une seconde presse. En 1876, il a cessé d'exercer.
Il est né le 14 octobre 1818 à Rive-de-Gier ; son père était verrier. Il est d'abord papetier. Il meurt le 31 mars 1854.
Après son brevet de lithographe, il demande un brevet d'imprimeur en lettres qu'il obtient le 18 août 1849. Il justifie la nécessité de ces brevets par la présence de forges, d'établissements religieux, d'industries textiles, du canal et du train.
20, rue des Verchères 33, grande Rue
Il se déclare libraire le 4 mai 1871 et typographe le 26 mai 1876.
Il est né à Cauderan (Gironde) le 4 novembre 1842 ; son père était fabricant de caisses. Il est écrivain lithographe.
Il est né à Montier-en-Der le 25 juin 1808 ; son père était cordonnier. Il est d'abord ouvrier relieur.
Il obtient un brevet de libraire le 2 mars 1832. Il demande en 1865 un brevet de lithographe qui lui refusé le 15 avril au motif qu'il n'y a pas assez de travail bien qu'il ait insisté sur les besoins des haras, hauts-fourneaux, huileries, etc., des environs. Il se met à la lithographie en 1877.
Il est né à Saint-Omer le 19 mars 1805 ; son père était marchand cirier. Il est graveur.
Son brevet est annulé en 1859 car il est parti de la ville depuis environ sept ans.
Il est le vicaire de Beauvain.
Il a acquis une presse Guérin-Nicolot pour son usage personnel.
Il est né le 4 août 1826 à Rouhe dans le Doubs.
Il a une formation d’ouvrier lithographe. Breveté comme lithographe et libraire pour Angers (21/06/1856), il vient ensuite à Héricourt, en Haute-Saône, puis il demande le transfert de ses brevets à Besançon car il n’arrive pas à vivre de son commerce. Invoquant sa santé faible et débile qui ne lui permet pas de « supporter la température fort élevée de Besançon », il obtient le transfert de ses brevets pour Rochefort (15/09/1859), puis Antibes (2/06/1863) et Cannes. Sa demande d’un brevet d’imprimeur en lettres en novembre 1864 est rejetée car il y a déjà suffisamment d’imprimeurs. Il a aussi demandé des brevets pour ouvrir des cabinets de lecture à Saint-Galmier (25/05/1864), puis à Évian l’année suivante ; ses demandes ont été rejetées.
Il est breveté pour Héricourt (Haute-Saône).
Né le 15 août 1799.
Ancien libraire et lithographe, il veut reprendre son métier en 1869 et demande donc les deux brevets. Il a précédemment sollicité et obtenu un brevet de libraire pour Tonnay-Charente où lui a été refusé un brevet de lithographe. N’arrivant pas à vivre de son commerce, il s'est retiré à Besançon, puis il a sollicité un brevet de libraire et de lithographe pour Nice où son fils est libraire. Il a demandé ensuite, en mai 1869, un échange pour Pont de Vaux mais l’affaire trainant, il obtient son brevet quand il vient de se fixer à Tournus
Il est né à Brest le 22 septembre 1825. Son père était cordonnier. Il est ouvrier lithographe, formé dans les ateliers parisiens, notamment, pendant quatre ans, chez Jourdan.
Il est né le 5 février 1832 au Monastère (Aveyron) ; son père était filateur. Il a travaillé comme ouvrier lithographe à Rodez et à Versailles chez Brunox, puis il est venu à Cherbourg où il vit depuis quatre ans.
Elle est née le 19 janvier 1797 au Puy ; elle a épousé l'imprimeur Guilhaume qui meurt le 1er janvier 1856.
Pendant la longue maladie de son mari, elle a assuré la direction de l'imprimerie et obtient donc de reprendre ses trois brevets.
9, place Louis XVI
Il est né le 3 janvier 1815 à Colombiers (Hérault) ; son père était tisserand. De 1840 à 1854, il est institueur à Lansargues où il est aussi secrétaire de mairie à partir de 1848. Puis, il devient ouvrier imprimeur.
Il est né le 3 janvier 1814 à Perpignan ; son père était chef de la comptabilité du Commissaire ordonnateur. Pour obtenir son brevet, il est confronté à des problèmes d'état-civil : son patronyme a été mal orthographié dans son acte de naissance et il doit produire un certificat du maire de Perpignan attestant qu'il n'utilise jamais son surprenant prénom, mais que tous ne lui connaissent que celui de Justin. Il est professeur de dessin. Il renonce officiellement à son brevet en 1843.
Il est né le 10 novembre 1807 à Bar-sur-Seine. Son père était chapelier. Il a travaillé comme typographe dans une imprimerie de Bar.
Il reprend le 30 mai 1832 les brevets d'imprimeur en lettres et de libraire en même temps que l'entreprise de son patron qui se retire à cause de ses infirmités. En 1840, il est inquiété pour avoir oublié de mettre son nom sur une impression, mais comme il l'a bien déposée, il n'est pas poursuivi.
17, rue des Arcis
Il est né le 11 novembre 1807.
Il est né le 8 janvier 1799. Sonpère, un prêtre marié pendant la Révolution, était devenu imprimeur.
Il reprend le 28 octobre 1823 le brevet d'imprimeur en lettres de sa mère, devenue veuve. Il obtient ensuite, le 18 février 1833, un brevet de libraire. Il proteste contre l'installation d'un imprimeur concurrent et inonde de lettres et de mémoires imprimés les députés et les Pairs. En 1834, il emploie deux ouvriers et un apprenti. Sa veuve cédera ses brevets de libraire et de typographe, mais non celui de lithographe qui a été annulé pour inexploitation.
17, rue Ste Croix de la Bretonnerie (1860) 18, rue Ste Croix de la Bretonnerie (1858) 1, rue Ste Croix de la Bretonnerie (1855) 44, rue Ste Croix de la Bretonnerie
Né le 23 avril 1819 à Bouchavesnes dans la Somme.
Il a travaillé chez Basset, Badoureau et Auguet son beau-père comme ouvrier lithographe. Il est fabricant d'étiquettes gommées.
24, rue Mont Thabor
Né le 1er décembre 1812 à Montauban. Son père était géomètre
Il a dirigé une Correspondance politique contre le socialisme. Il a été caissier de la réunion de la rue de Poitiers et de celle dite association antisocialiste. Il veut le brevet de lithographe pour autographier cette correspondance politique. Il a fait faillite le 25 avril 1872, indiqué comme négociant en pierres lithographique 2, Cité Trévise sous la raison sociale St André & Brueys.
Il est né à Arras le 26 décembre 1809 ; son père était marchand de tabac. Il a commencé son apprentisssage vers onze ou douze ans chez Langlumé puis chez Motte. Il travaille ensuite 18 mois comme ouvrier chez Cornillon qu'il quitte pour Engelmann. Il passe l'année 1826 à Bordeaux chez Léger, avant de revenir chez Motte en 1827. Celui-ci l'envoie en Grande-Bretagne pour travailler dans une imprimerie montée avec un associé, mais l'affaire tourne court et il revient travailler à Paris. Il a suivi les cours de l'enseignement mutuel à Paris ; il sait écrire mais "il a peu d'orthographe".
Il semble qu'il n'ait jamais exploité son brevet pour Arras. En 1834, il a tenté de s'associer avec un certain Heurvy, installé 22, rue de l'Arbre-sec, à Paris, mais ils ont fait de mauvaises affaires et Saint-Aubert doit s'employer comme ouvrier chez Bineteau à partir de 1835. En juillet 1839, il demande le transfert de son brevet pour Paris. Le rapport lui est très défavorable : il aurait dilapidé le peu d'argent laissé par ses parents, aurait quitté sa femme "pour vivre dans le désordre" et il a été condamné à un mois de prison le 9 juin 1837 pour adhésion à une association illicite. Il n'obtient donc pas le transfert et son brevet est annulé en 1859 pour cause d'inexploitation.
31, rue du Petit Carreau (1852) 50, passage Verdeau (1856) Rue de Bondy 18, impasse de la Pompe
Né le 31 octobre 1823 à Paris. Son père est fruitier.
Il a fait une première demande en 1851 refusée car il mène une vie de débauche. Il est spécialisé dans les travaux de ville.
47, rue de Caudebec 40, rue du Cours 24 et 69, rue de la Barrière
Saint-Denis a d'abord été papetier au 47 rue de Caudebec, puis il y a installé, en 1871, une imprimerie typographique et lithographique avant de transporter son matériel rue du Cours. Duruflé, né le 9 octobre 1852 à Caudebec-lès-Elbeuf, le rejoint le 16 décembre 1878 et ils déménagent rue de la Barrière.
Il est né à Nîmes (Gard) le 13 février 1788. C'est un capitaine en retraite, chevalier de la Légion d'honneur, et employé dans les bureaux de la Préfecture qui cherche "une occupation plus conforme à ses goûts".
Il se propose de faire des travaux de ville, mais aussi des portraits et des paysages. Le brevet est annulé en 1859 pour inexploitation.
Il est né à Darnétal (Seine-inférieure) le 25 septembre 1795 ; son père était fabricant. Il est médecin. Il meurt en 1865.
Il obtient son brevet d'imprimeur en lettres en même temps que celui de lithographe : "l'amitié l'a engagé à investir une somme considérable" dans l'imprimerie des Berdalle qui ont encore des difficultés financières ; il rachète l'imprimerie le 10 août 1853 pour 25 000 F dont 18 000 F de dettes et reprend leurs brevets. Le 1er juin 1854, il reçoit son brevet d'imprimeur en taille douce.
Il est né le 17 juillet 1832 à Branne (Gironde) ; son père était marchand.
Après avoir transmis son brevet Barreau, il part pour Paris, invoquant des raisons de famille, mais en 1864 il souhaite revenir à Bordeaux et demande à reprendre un brevet ; comme le Préfet refuse toute création, il demande à reprendre le brevet d'un lithographe qui n'exerce plus, Dejernon, mais ce brevet a été annulé. Sa demande est rejetée.
Il est né le 4 octobre 1836 à Rosières (Aube) où son père était fabricant de bas. Il vient de Napoléon (Vendée) où il travaillait comme compositeur.
Il reprend l'imprimerie et les trois brevets d'Aupetit.
41, Grande rue (1832)
Il est né le 6 mars 1803 dans une famille respectable de Besançon dont son oncle a été le maire. Son père y était libraire et sa soeur prendra la succession paternelle. Lui-même a commencé à travailler dans l'imprimerie de sa tante la veuve Daclin qui possédait depuis plus de 30 ans la plus ancienne imprimerie de la ville.
Il succède à sa tante qui démissionne en sa faveur et il obtient donc son brevet d'imprimeur en lettres le 30 avril 1832. La lithographie lui sert pour les travaux de ville, lettres de voiture... Il est remplacé par Dodivers.
18, rue des Anglaises
Il est né le 25 mai 1805 à Sens (Yonne). Son père était perruquier. Il a été capitaine de la Garde nationale. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur le 23 août 1848. Il meurt en 1882.
C'est un des principaux fabricants de dessins pour tapisserie de la capitale. Il passe pour être le premier en France à avoir édité des modèles de tapisserie et broderie en couleurs qui étaient déjà très répandus en Allemagne. Il est l'auteur du Guide Sajou, seul journal complet des ouvrages de dames , avec dessins et texte explicatif pour tricot, broderie, filet, tapisserie, crochet, frivolité, qui paraît de 1851 à 1854, avant de fusionner avec Le Moniteur des demoiselles et le Journal des dames et demoiselles pour devenir le Moniteur des dames et demoiselles. Chaque numéro du Guide comportait des gravures de mode pleine page et des grilles explicatives pour la réalisation des ouvrages proposés aux lectrices. Les premières, irrégulièrement signées, le sont par Héloïse Leloir pour le dessin et Marcilly ou Mariton pour la gravure en taille-douce ; il semble qu'il ait demandé un brevet pour lithographier les grilles explicatives.
Il est né le 10 décembre 1841 à Toulouse où son père était marchand de bois. Il est écrivain lithographe.
44, rue des Filatiers 35, rue des Balances 34, place Mage
Il est né le 7 novembre 1808 à Perpignan (Pyrénées-orientales) où son père était en garnison. Il a été ouvrier puis prote chez Mercadier.
Il a ouvert une papeterie qui offre des articles de bureau et propose de l'impression sur toile cirée. Il a obtenu le 20 juillet 1852 un brevet pour la taille-douce, mais il se voit refuser un brevet de libraire le 14 décembre 1855 et encore le 30 novembre 1859. La justification officielle est, à chaque fois, le trop grande nombre de librairies à Toulouse mais le rapport de police de 1858 lui reproche sa faillite de juin et ses opinions politiques hostiles au gouvernement.
42, rue des Filatiers (1862)
Il est né le 21 mai 1822 à Toulouse ; son père était militaire, décoré de la Légion d'honneur. Il a 25 ans d'expérience comme graveur et lithographe.
Le brevet est pris en association avec Pierre Jean Lagravère. Il imprime des étiquettes (Conserves Charles Saint-Martin, 1867)
2, rue Contrescarpe
Il se déclare libraire le 13 août 1873 et déménage son magasin en décembre 1873 du quai de la Fosse à la rue Contrescarpe.
Elle est né à Blangy (Calvados) le 28 décembre 1804 ; son père était huissier. Elle a épousé l'imprimeur libraire Fournier dont elle a eu trois enfants.
La séparation de biens est prononcée le 12 août 1845 et lui permet de reprendre sa dot ; elle peut sauver ainsi l'imprimerie qui aurait été vendue pour payer les dettes de son mari, et faire une demande de transfert en sa faveur des brevets de lithographe et d'imprimeur en lettres qu'elle obtient ensemble. Elle espère ainsi pouvoir aider son mari à résorber ses dettes. Elle est condamnée le 19 décembre 1850 à un mois de prison et 200 F d'amende pour avoir traité de matières politiques dans L'Industriel elbeuvien, journal sans cautionnement qu'elle publie. Cette condamnation vient s'ajouter à celle du 13 septembre 1850 pour défaut d'adresse sur une pétition politique et une amende de 3 000 F. Le Préfet, consulté sur son recours en grâce, explique qu'elle est accablée de dettes et qu'elle s'est "trouvée souvent obligée de s'adjoindre quelque associé pour la gérance de son imprimerie qui d'ailleurs est tombée dans un état déplorable" ; il veut croire que ces fautes ont été commises à son insu et plaide la pitié pour "l'état maladif de la dame, l'épuisement de ses forces d'autant qu'elle laisserait abandonnés trois enfants". Deux semaines plus tard, il revient sur cet avis car elle vient de reproduire une pétition Pour le rétablissement du suffrage universel, parue dans La Voix du peuple, sans déclaration ni dépôt. Il conseille donc de réduire à 15 jours la peine de prison, mais de maintenir les amendes, ce qui est fait. Elle n'a évidemment pas les moyens de payer toutes ces sommes et doit céder typographie et lithographie à Levasseur tandis que son mari, de son côté, lui abandonne son brevet de libraire.
Il ets né le 9 février 1800 à Riom ; son père était imprimeur libraire. Il fait son apprentissage chez son père, puis part travailler comme ouvrier pendant 4 ans à Paris.
Il reprend les brevets paternels de typographe et de libraire le 23 mai 1826. Il est l'imprimeur de la préfecture, de la mairie, de la cour de justice. Il publie la feuille d'annonces locale.
Il dirige la succursale de la Société générale et utilise professionnellement une presse (système Ragueneau).
39, rue Montmartre (1844) 245, rue St Honoré (1846)
Il est né le 3 mai 1807.
Il a été breveté lithographe à Metz en 1838. Il avait également l'autorisation de posséder des caractères typographiques pour l'exploitation d'une machine à écrire de son invention. Il dépose en 1835 un brevet d'invention pour un nouveau procédé d'impression grâce à un "composteur polygraphe", auquel il apportera cinq additifs jusqu'en 1843. Son dernier brevet, pour une presse lithographique "demi-mécanique", est pris en association avec son épouse Flore Salomon, née Nètre.
Il est courtier.
Il utilise une presse autographique pour ses besoins professionnels. Il n'apparaît plus dans l'état statistique de 1879.
Il demande le transfert de son brevet pour Paris et vend son matériel à Roboam Levi qui a été son prote.
18, rue Dauphine
Né le 4 mai 1825 à Jumilhac en Dordogne. Son père est receveur à cheval des contributions indirectes.
Son établissement lithographique est géré par le Sieur Mousset. Il possède également une maison de commerce d'horlogerie dont il préfère s'occuper.
Il est né le 16 avril 1850 à Manville (Vaucluse).
Il est d'origine portugaise. Il est le premier lithographe installé à Nantes. En 1827, il n'exerce plus.
Il est né à Saint-Dizier (Haute-Marne) le 17 novembre 1817 ; son père était marchand. Il est commis libraire.
Il rachète la librairie dans laquelle il travaille et obtient son brevet de libraire le 5 décembre 1845. À sa mort, sa veuve reprend son brevet de libraire le 23 juillet 1857, mais vend son matériel lithographique à son confrère Picault ; le brevet, inexploité, est annulé en 1860.
Elle est née à Germolles (Saône-et-Loire) le 13 août 1832.
Elle reprend l'activité de lithographe et typographe de son mari, décédé le 25 septembre 1880.
133, Grande rue
Elle est née à Honfleur le 8 septembre 1815. Son père était lieutenant de vaisseau. Elle a épousé l'imprimeur Dupray qui meurt en 1847.
Elle continue l'exploitation de l'imprimerie, et l'administration doit lui rappeler qu'il lui faut demander le transfert des trois brevets de son mari. Ce qu'elle finit par faire. Elle s'insurge, peu après, contre l'installation d'un troisième lithographe à Honfleur et, à l'administration qui lui fait remarquer que ni son mari ni elle n'ont jamais exploité leur brevet, elle annonce que le matériel est commandé et va arriver.
Rue de Nantes
Il utilise une presse autolithographique. Au recensement de 1876, il n'est plus en activité.
Rue Coquillère 270, rue St Denis (1839) 21, rue de la Ferronnerie 131, rue Montmartre (1842) 46, rue Saint-Merry
Il est né le 28 octobre 1814 à Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne). Son père était propriétaire et cultivateur. Il est écrivain lithographe de formation.
Le 5 février 1842, il s'associe pour dix ans avec ses frères François, Roger et Jean-Marie dans la société en nom collectif Sapène frères. La signature des impressoins est parfois" Lith. 3 frères Sapène". En 1885, une imprimerie François Sapène imprime des étiquettes de vin (Malaga Prince de Galles)
104, rue Saint-Martin / 2, passage de la Réunion (1854)
Né le 31 mars 1807 à Bagnères de Luchon.
Il exploite l'imprimerie avec son frère Jean Marie