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Douaire. — Jean Dasignon, laboureur, paroissien de Saint-Denis-en-Val, épouse Marguerite, veuve de Jacques Beraut, constitue en sa faveur un douaire à prendre sur ses biens meubles au moment du décès, avant tout partage entre héritiers, s’élevant à 6 l. p. s’ils n’ont pas d’enfant ensemble et à rien s’ils en ont.
93 v°Et le samedi XXVIIe jour d’avril IIIIc XXXVII.
Au traictié du mariage et par le mariage faisant d’entre Jehan Dasignon, laboureur, parroissien Saint Denis en Vaulx lez Orleans, a la personne de Marguerite, vefve feux Jaques Beraut, a present demourant a Orleans, et aprés les fiensailles d’eulx deux, il avoit douee et doue ladicte Marguerite de la somme de six livres parisis monnoie courant a present. A prandre et avoir pour une foiz sur la partie et porcion des biens meubles des hoirs et heritiers dudit Jehan Dasignon, premierement et avant aucun partaige, ou cas toutesvoies que il n’y aura enfent ou enffent d’eulx, et se il y a enffent ou enffens, douaire nul. Obligent par foy. Renoncent etc. Coustz etc.
