[...] son sang, sa chair qui souffrent. Mais la pauvre amoureuse n’est rien à son amant ; demain il la chassera peut-être, la méprisera, se mariera à quelque jeune fille sortant du couvent, et le couple heureux, brillant passera à côté d’une pauvre créature qui glisse le long des murs pour ne pas provoquer la susceptibilité d’un sergent de ville.
La mère à droit d’espérer en l’amour infini, la vénération profonde et constante de son enfant qu’elle a rappelé à la vie ; et la femme sans nom ne doit compter que sur l’oubli, sinon le mépris.
Fait un bon de 15 litres 1/2 de vin | 3.10 F |
Nous ne comprenons rien aux femmes. Ou nous sommes faibles ou grossiers, souvent l’un et l’autre. Nous ne faisons pas attention au mouvement émancipateur qui s’est produit depuis plusieurs années au profit des femmes quelque soit le ridicule, dont l’exagération de cette pensée ait été couverte, il en est demeuré quelques germes dont l’esprit d’indépendance commun au sexe féminin s’est emparé.