Il est né à Virieu (Isère) le 17 mars 1808 ; son père était percepteur. Il est écrivain dessinateur lithographe, ayant travaillé depuis 1822 à Lyon, Nîmes, Carcassonne, Saint-Étienne (chez Boirayon)... Entre 1831 et 1836, il a fait son service militaire.
Il est né à Clermont (Oise) le 3 octobre 1812 ; son père était huissier. Il a travaillé pendant dix ans chez l'imprimeur Decourchand.
Il reprend les trois brevets de Soulas. Il possède 1 presse lithographique et emploie 1 écrivain et 1 ouvrier lithographe ; il fait beaucoup d'ouvrages de ville. Il imprime l'Ami de l'Ordre et le Journal des arpenteurs avec 2 presses typographiques
8, place du Plâtre (1865)
Il est né de père inconnu le 14 août 1838 à Lyon ; sa mère était dévideuse. Il est écrivain lithographe.
Il a racheté l'imprimerie et le brevet de Denis.
43, Porte Dijeaux
Il est né le 22 janvier 1784 à Limoges (Haute-Vienne) ; son père était jardinier. Il est le frère de l'imprimeur typographique qui possède le journal constitutionnel L'Indicateur.
Il veut adjoindre la lithographie à la typographie pratiquée dans l'imprimerie de son frère. Sa première demande de brevet en 1828 est ajournée. Il fait des travaux de ville. À sa mort, ses héritiers gardent son brevet sans l'exploiter, son neveu projetant de le reprendre, puis finissent par le vendre avec l'imprimerie pour 300 F à Lahon.
Jean Coudré est né le 3 avril 1843, Daniel Périgord le 19 août 1852.
Ils s'associent pour créer une imprimerie lithographique.
Couesnon père, né le 15 janvier 1826 à La Ferté-Gaucher (Seine-et-Marne), son fils, né le 5 novembre 1850 à Provins (Seine-et-Marne), et Savet, né aux Islettes (Meuse) le 7 mars 1837, sont associés comme grossistes en tissus. Ils ont besoin d'une presse autographique pour imprimer leurs papiers commercaiux.
Il est né à Fécamp le 3 juin 1816 ; son père était orfèvre. Il est typographe.
Il reprend les brevets d'imprimeur en lettres et de lithographe de Michel.
Il est né à Fécamp le 3 juin 1816 ; son père était orfèvre.
Il a repris le brevet de Genets mais, en 1854, l'administration constate qu'il ne l'exploite pas et qu'il habite désormais Saint-Valéry. Il répond que, depuis trois ans, il a les jambes paralysées, qu'il a déjà vendu une grande partie de son matériel, mais n'a pas trouvé acquéreur pour le brevet. En 1856, il vit à La Villette près de Paris ; il a trouvé un acquéreur pour son brevet et découvre que celui-ci a été annulé en 1855. Il demande qu'on le lui rende ou qu'on l'indemnise car, paralysé, il ne peut travailler et n'a pas de revenu. En précisant qu'il s'agit d'un secours, et non d'une indemnité, l'administration lui alloue 60 F.
Il est né le 8 janvier 1834 à Marseille. Son père était tuilier. Il est ouvrier lithographe à Aix, chez Martin depuis 5 ans .
Il a d'abord demandé un brevet pour Bastia qui lui est refusé le 30 janvier 1866 car il y a déjà deux lithographes dans cette ville. Il reprend alors le brevet et l'imprimerie de Gonnelle pour 12 500 F et se retrouve à la tête de deux presses lithographiques, une presse à satiner, une presse à rogner et un stock de pierres. Il cède son imprimerie en 1874 à Adrien Joseph Audibert.
1, promenade du Cours
Il ets né à Marseille (Bouches-du-Rhône) le 8 janvier 1834.
Après avoir cédé son imprimerie à Salon, il ouvre une imprimerie à Nice à l'enseigne de la "Lithographie artistique".
Il est né le 29 novembre 1825 à Montluçon ; son père était tisserand. Il est détenu, en février 1851, à la prison de Moulins "en prévention de délit politique". Il a été arrêté le 3 décembre 1851 comme insurgé.
En même temps que son brevet de lithographe, il obtient celui de libraire. Il semble qu'il ait surtout eu une activité de cabinet de lecture, prêtant principalement des romans. Il renonce à son brevet de libraire au début de 1854 et le commissaire constate qu'il n'habite plus la ville. Il habite Alger. Son brevet de lithographe est donc annulé.
97, passage du Caire (1866)
Il est né le 18 octobre 1834 à L'Aigle (Orne). Son père était journalier.
Écrivain autographe et lithographe, il travaille d'abord pour plusieurs maisons pendant 7 ans avant d'acheter le fonds de Rival pour 1 500 F. Il se spécialise dans les lettres ouvertes, déclarations, circulaires, pétitiions ... autographiées ou lithographiées, et imprime aussi quelques affichettes et dessins satiriques. Il ne semble plus actif après 1890.
Il est né le 29 septembre 1839 La Vacquerie (Hérault) ; son père était aubergiste.
Il est graveur lithographe. Il fait des étiquettes (Vin blanc sec Raphaël Athias, 1883)
Il est fabricant de paillassons.
Il utilise une presse Ragueneau pour ses écritures commerciales.
7, rue Richer (1839)
Il est né le 7 septembre 1795 à Bercy. Il est marié et père de famille. Il semble avoir quelques biens en province.
Prote de l'imprimeur Roger depuis 3 ans, il vient de lui racheter son établissement. Il imprime des portraits d'artistes, des paysages et une longue série consacrée au retour des cendres de Napoléon.
4, place de l'Odéon
Elle est née le 10 février 1797 à Saint-Benoît dans le Loiret ; son père était journalier. Son mari est mort le 29 juillet 1857. Elle a deux fils : l'un est lithographe, l'autre ingénieur civil. Du vivant de son mari, elle s'occupait déjà de l'établissement ; elle ne manque pas d'instruction, et a beaucoup d'aptitude professionnelle, note le rapport de l'administration de la Librairie. Elle paie un loyer de 3 000 F.
Sa clientèle est constituée du Sénat et de l'Impératrice. Elle est spécialisée dans l'impression d'étiquettes.
142, boulevard Saint-Denis, Paris (1879-1883) Rue d'Hauteville, Paris (1883)
Il est né à Lons-le-Saunier (Jura) le 12 janvier 1831 ; son père était tailleur de pierre. Il a fait son apprentissage à Lons chez Damelet, puis a travaillé chez Valluet à Besançon, chez Thurwangere à Paris et Landa à Chalon comme dessinateur lithographe.
Il s'associe avec Robelin qui a obtenu un brevet le 11 avril 1860. Quand l'association est rompue, il garde le matériel mais doit demander un brevet (par création) à son nom, car Robelin souhaite conserver le sien pour s'installer à Beaune. L'entreprise est importante puisqu'elle emploie une vingtaine d'ouvriers et possède, en 1864, une presse mécanique à vapeur et cinq autres presses. En 1872, il déclare pratiquer aussi la typographie. En 1894, il expose une collection de chromos réalisés en dix passages de couleurs et offrant une multitude de tonalités différentes. À la suite de son mariage, l'imprimerie prend le nom de Courbe-Rouzet. L'imprimerie a, dans les années 1860, à côté des travaux de ville, une production de "gravures communes et de gravures en deux teintes expédiées à Marseille pour la fabrication de boîtes d'allumettes en carton" et, bientôt, la chromolithographie sert à imprimer une très importante production d'étiquettes pour divers produits (encres...), affiches, calendriers, cartes et images publicitaires en tout genre : devinettes, images formant récit à collectionner, dessins amusants... A côté de créations spécifiques à une marque, plusieurs milliers de modèles sont créés qui peuvent recevoir a posteriori le nom de la marque à promouvoir. La clé du succès de la plus grande partie de la production est de s'adresser à un public enfantin ou d'utiliser une représentation de l'enfance. Ce type d'images peut aussi être utilisé pour illustrer des jeux (lotos, cubes...) Une production d'une telle importance exige l'ouverture à Paris de bureaux commerciaux et l'embauche de représentants. pour Marseille, Lyon, Dijon, Barcelone et Madrid. L'imprimeur est condamné en 1878 à 50 F d'amende pour un défaut d'adresse sur une affiche, qui est imputé à un employé négligent en l'absence prouvée de son patron. À sa mort en 1912, son neveu Charles Rouzet, ancien élève de l'École centrale de Lyon, reprend l'imprimerie qu'il gardera jusqu'en 1928.
5, petite rue de Cuire
Il est né à Lyon le 10 janvier 1848.
Il était associé avec Jean Pierre Pelletier et, après le décès de ce dernier, l'est resté avec sa veuve. L'imprimerie typographique et lithographique avait pour raison sociale Pelletier et Courbis. Il en est désormais le seul propriétaire.
25, rue de l'Hôpital
Il est né à Grand-Quevilly (Seine-inférieure) le 9 janvier 1832 ; son père était commis négociant.
Il est l'associé de Renaux qui a des difficultés financières et lui cède son brevet de lithographe. Il se retire rapidement de l'affaire et Renaux reprend son brevet.
Il est né le 27 juin 1827 à Fives (Nord) ; son père était préposé aux douanes
Il est d'abord ouvrier lithographe chez Bourlinchon, puis il demande un brevet de lithographe pour Roubaix qu'il obtient le 12 avril 1856. Le préfet du Nord donne un avis très favorable en raison du nombre "d'établissement industriels qui font une consommation énorme d'étiquettes lithographiées. Les besoins sous ce rapport sont sensiblement accrus par la création dans les environs de Roubaix de quelques usines à fabriquer la chicorée et les deux seules imprimeries lithographiques existant actuellement dans cette ville ne peuvent suffire aux besoins de la population." Il le complète d'un brevet de libraire le 19 septembre 1862, mais, le 9 novembre 1864, il échange son titre pour Comines, où il n'y a pas encore de librairie ; il y retrouve son frère installé lithographe. Il en démissionne le 16 décembre 1865 et part pour Paris. Il a cédé son imprimerie à Goudeman qui la revend à Gravelle.
Il est né à Lille (Nord) le 10 janvier 1836 ; son père était employé des douanes. Il a vécu à Cambrai, puis à Roubaix et travaillé dans une imprimerie lithographique.
Il n'y a pas de lithographe à Comines ; il obtient donc son brevet. L'enquête de 1876 note qu'il a cessé d'exercer.
51, rue Doudeauville Grande Rue, Montreuil (1876) 10, rue Bréguet (1895)
Il est né le 27 juin 1827 à Fives (Nord) ; son père était préposé aux douanes. Il est marié et père de 5 enfants. Arrivé à Paris depuis 3 ans, il a travaillé chez Seringe, chez Appel et chez Deplanche.
Il invoque des "circonstances malheureuses qui l'ont forcé à céder et venir à Paris". Après y avoir travaillé comme ouvrier, il veut se remettre à son compte. L'imprimerie Courmont frères (Émile Joseph Courmont ayant rejoint son frère) connaît une grande prospérité avec l'impression d'affiches, notamment touristiques. Elle se fait une spécialité, dans les années 1890, des affiches en "simili-aquarelle", abritant l'atelier d'Hugo d'Alési. "Les compagnies de chemins de fer ont trouvé en lui [H. d'Alési] et en M. Courmont le plus agréable et le plus judicieux auxiliaire : nul ne saurait mieux donner envie de voyager", écrit le Gutenberg à l'occasion de l'exposition du centenaire de la lithographie. Sont ainsi présentes dans Les maîtres de l'affiche de 1897 une affiche de Gerbault pour le Chocolat Carpentier, et une d'Hugo d'Alési pour le Centenaire de la lithographie et, de nouveau en 1899, une affiche d'Hugo d'Alési pour Venise et la Compagnie de l'Est, et une de Steinlen pour le Chocolat de la Compagnie française. Elle imprime aussi des catalogues illustrés pour des marques diverses (carrelages, serrurerie, vitraux...) et fait tous travaux publicitaires. En 1896, l'imprimerie devient Courmont frères et cie et, en 1898, Carlos Courmont inaugure en grande pompe une usine à Loeuilly-sur-Selle (Somme) avec un hall de 2 500 m2. La société est dissoute en mai 1902 ; naît alors une société Tissier et Courmont qui fait faillite en 1904.
Il est né à Beaucaire (Gard) le 17 février 1821 ; son père était tonnelier. Il a servi sept ans comme engagé volontaire, puis il a travaillé douze ans dans une imprimerie.
13, rue Bréda (1868)
Il est né le 12 mars 1837 à Paris. Il a travaillé chez Avril, Delamarre et Fauché. Il possède 8 000 F de capital d'installation et paie un loyer de 850 F.
Graveur sur pierre de formation, il souhaite se spécialiser dans les travaux administratifs, les plans d'architecture et la géographie. Il obtient son brevet par création.
Il est né le 31 août 1839 à Dunkerque (Nord). Il vit depuis 10 ans à Paris et travaille au service des plantations de la ville. Il est marié et père de famille.
Il reçoit l'un des derniers brevets décernés.
Il est né le 8 décembre 1788 à Châteauneuf (Loiret). Il est artiste peintre.
Son brevet est annulé en 1856 pour non exploitation. Il ne semble pas avoir utilisé son brevet, bien qu'il ait lithographié des dessins qui furent imprimés par Engelmann, Langlumé, Formentin, Villain...
43, rue des Fossés Saint-Germain-l'Auxerrois (1835)
Il est né le 3 juillet 1814 à Millau (Aveyron) ; son père était charron. Il est écrivain lithographe.
Il demande ce brevet "pour augmenter ses moyens de subsistance", en imprimant des adresses et des annonces commerciales.
Place de l'Église
il est né à Paris le 30 janvier 1826.
Il est libraire et lithographe.
21, rue Ferrandière (1865)
Il est né à Lons-le-Saunier (Jura) le 16 mars 1824 ; son père était vigneron.
Il imprime des cartes et des plans ( Plan des améliorations réalisées ou projetées dans le centre de la ville de Lyon, Plan topographique de la ville de Lyon et de ses environs...) Il travaille à la mise au point d'un nouveau modèle de presse pour lequel il prend un brevet d'invention en 1864. Après avoir cédé son brevet à Dévignes, il part pour Paris où il obtiendra un brevet en 1868.
Il ets né à Lons-le-Saunier (Jura) le 20 décembre 1796 ; son père était vigneron. Il dit avoir une longue expérience de la lithographie.
Il a été breveté le 5 novembre 1847 pour Villeurbanne, ville rattachée au département du Rhône en mars 1852. Il profite de ce changement pour demander le transfert de son brevet pour Lyon où il habite. En 1847, il a besoin de la lithographie pour "faire de l'impression sur toiles vernies servant comme tapis à des devants de cheminée" et plus généralement pour des tapis de table en toile cirée dont il a montré "de très jolis échantillons". Il veut faire aussi des travaux de ville.
73, avenue d'Italie (1868)
Il est né le 16 mars 1824 à Lons-le-Saunier (Jura) ; son père était vigneron. Il est marié et père de famille. Il est dessinateur lithographe de formation.
Précédemment breveté imprimeur lithographe à Lyon, il est venu à Paris en 1866 présenter quelques-unes de ses inventions dont une presse pour laquelle il cherche à intéresser Brisset. Il lui apportera des améliorations jusqu'en 1867.
Il est né le 2 octobre 1830 à Marseille ; son père était scieur de long. Il a été ouvrier lithographe.
Il est né à Sézanne le 13 novembre 1816 ; son père était cordonnier. Dans sa jeunesse, alors qu'il était commis auprès du receveur de l'enregistrement à Sézanne, il a vendu du papier timbré dont il a omis de remettre le prix au comptable ; il fut donc licencié. Il s'est racheté ; il est marié et père de famille. L'administration préfectorale ne s'oppose donc pas à ce qu'il reçoive un brevet.
Il a obtenu un brevet d 'imprimeur en lettres le 22 avril 1842 et il reçoit en même temps les brevets de lithographe et de libraire. Il cède ce dernier en 1847 à Lemaître, puis vend en 1854 son brevet de typographe. Dès 1851, l'administration note que le brevet de lithographe n'est pas exploité ; il sera annulé.
8, place du Château
Il est né le 30 octobre 1848 à Paris.
Il exerce la lithographie seule.
Il est né le 9 juin 1805 à Marseille. Son père était négociant. Il a débuté comme commis libraire, puis s'est installé à son compte, obtenant un brevet le 21 février 1832.
Son brevet de lithographe lui est retiré car un contrôle des titres délivrés a montré qu'il n'avait jamais prêté serment en 1846 comme il aurait dû le faire. Devant ses protestations, le brevet de 1846 est annulé et un second brevet lui est délivré le 22 décembre 1854. En revanche, après mise en demeure, son brevet de libraire est annulé le 21 juillet 1856 pour inexploitation.
Il a d'abord été breveté à Chaumont (Haute-Marne). Il reçoit les trois brevets de Durand le même jour. Le Préfet demande à l'administration de les lui accorder rapidement car Durand, son prédécesseur, était l'imprimeur-gérant du journal conservateur Le Messager du Loiret.
Ancien officier des Cent Jours, il a été capitaine de la compagnie de voltigeurs de la Garde nationale à Chaumont.
Il a obtenu un brevet d'imprimeur en lettres le 13 avril 1824 pour exploiter l'imprimerie de son oncle. Celui-ci avait été privé de son brevet pour avoir imprimé un journal d'opposition et il était mort avant d'avoir obtenu que son brevet soit transféré à sa femme. Le Préfet préfère que le brevet soit accordé au neveu car "il lui devrait sa nomination et il pourrait le maintenir dans une bonne ligne de conduite". Le Préfet peut se féliciter de son choix : "Le Courrier de la Haute-Marne avait été rédigé dans le sens des journaux libéraux les plus fougueux. Sous le nouvel éditeur, il a pris la couleur du Journal des débats." Peut-être ses affaires ne sont-elles pas très bonnes puisque le 4 novembre 1837, il fait savoir au Préfet qu'il serait tout prêt à prendre un brevet pour Constantine "si des avantages étaient attachés à ce brevet". Il n'en fait rien et continue à imprimer L'Echo de la Haute-Marne, "rédigé par des employés de la Préfecture dans un sens tout à fait favorable au gouvernement". Il refuse donc d'imprimer L'indépendant de la Haute-Marne, un journal concurrent, malgré le procès que lui intente son rédacteur.
10, rue Urvoy de Saint-Bedan
Il est artiste peintre.
Il veut faire des modèles de dessin.
17, rue Plantagenêt
Il est né à Cholet le 1er septembre 1839 ; son père était tisserand.
Il travaille avec son oncle Grenier dit Mathieu qui démissionne en sa faveur et lui laisse son entreprise. À sa mort, en 1866, sa veuve,Clémentine Louise Bourdais reprend son brevet.
Né le 7 août 1825 à Etouvelles dans l'Aisne. Son père était jardinier. Il entre au conseil municipal de Ribemont en 1860.
Professeur et éditeur de musique. Le préfet fait valoir qu'il ne fera pas concurrence aux lithographes de Saint-Quentin, ville pourtant proche, car il utilisera son brevet pour sa seule activité d'éditeur de musique. Il déclare, en août 1871, devenir aussi imprimeur en lettres.
Il est le fils du lithographe et typographe Louis Lambert Couturier installé à Ribemont.
Il est typographe et lithographe. Il reprend en 1875 l'imprimerie de Berthaut.
32, rue Grenette
Elle est née à Lyon le 12 août 1807 ; son père était cordonnier.
À la mort de son mari, elle reprend son brevet. Elle confie la gestion de l'imprimerie à Morand et Gillet. Quand elle meurt à son tour, le 6 mai 1852, elle laisse un fils de 16 ans qui est élève de l'École des Beaux-arts. Pour préserver son avenir, son brevet est attribué à son tuteur, Ribelin.
Il est greffier de justice de paix.
Il possède une presse autographique.
Il possède un atelier de typo-lilthographie.
Il est né le 30 mai 1827 à La Fère dans l'Aisne. Son père était cordonnier. Il a vécu à La Fère jusqu'en 1851, puis à Saint-Quentin où il est allé se former.
Il est écrivain lithographe de formation. En 1859, un rapport de police note qu'il "est loin d'être en voie de prospérité". Il a "cessé volontairement" d'exercer en 1870, mentionne son dossier.
10, rue du Fouret et 1, place Saint-Bernard
Il succède à son père comme lithographe et typographe.
10, place du Fouret 1, place Saint-Bernard Rue du général Delmas
Il est né le 29 novembre 1807 à Brive. Il est bachelier en droit. Il deviendra juge puis président du tribunal de commerce de Tulle.
Il reprend le 25 février 1833 les brevets d'imprimeur en lettres et de libraire de son oncle, au décès de celui-ci. Il y renonce en 1852, et part s'installer à Tulle où il a obtenu de transférer son brevet d'imprimeur en lettres le 12 juin 1852. En 1873, il cède son entreprise à son fils
Il est correspondant de divers journaux.
Il utilise une presse autographique pour la reproduction de correspondances maritimes et commerciales.
Il est né à Étain (Meuse) le 10 février 1791. Il a été commissionnaire et a voyagé pour une société de Leipzig. Il est chef de la communauté israélite de Lyon.
Il est associé avec le papetier Marnet, et sa demande de brevet de lithographe suscite l'opposition de l'imprimeur Jourjon qui prétend qu'il n'y a pas de travail pour un nouveau lithographe, lui-même ne faisant pas d'affaires. Le rapport du Préfet attribuant ces mauvaises affaires " à son peu d'habileté dans l'art lithographique", qui pousse les Stéphanois à s'adresser à des lithographes lyonnais, Créhange obtient son brevet par création. Néanmoins, il quittte rapidement Saint-Étienne pour Paris. Il y demandera plus tard le transfert de son brevet.