Il y a dans le prisonnier et le prêtre une analogie curieuse. Elle
consiste dans la manière toute égoïste dont chacune de ces deux
individualités apprécient les événements extérieurs. Toutes les deux
ramènent au Moi suprême les différents
incidents qui se produisent autour d’elle. Toutes deux ont en elle-même
une confiance illimitée que rien ne saurait ébranler. Tous deux ont une
vaine arrogance.
Le prêtre - nous parlons surtout dans son caractère privé, dans sa vie
intime - n’ayant plus sur le dos ce lourd manteau de componction, qui ne
l’abandonne jamais [...]
Notes
Il y a dans le prisonnier et le prêtre une analogie curieuse. Elle
consiste dans la manière toute égoïste dont chacune de ces deux
individualités apprécient les événements extérieurs. Toutes les deux
ramènent au Moi suprême les différents
incidents qui se produisent autour d’elle. Toutes deux ont en elle-même
une confiance illimitée que rien ne saurait ébranler. Tous deux ont une
vaine arrogance.
Le prêtre - nous parlons surtout dans son caractère privé, dans sa vie
intime - n’ayant plus sur le dos ce lourd manteau de componction, qui ne
l’abandonne jamais [...]