2, rue Chateau-Redon
Il est papetier et graveur.
Il s'associe avec le lithographe Auguste Ducamp et forme la société Guillon et cie. La papeterie est installée au n°2 de la rue Chateau-Redon et le matériel lithographique au n°14.
2, rue de Nazareth
Il est né à Orléans (Loiret) le 15 janvier 1822 ; son père était boulanger. Il a étudié la lithographie à Paris avant de travailler à Bordeaux où il fait de l'autographie et de la lithographie en 1843, et revenir à Orléans.
Il obtient un brevet pour Orléans le 28 août 1846 et fait plusieurs demandes de transfert pour Toulouse dans les quatre années qui suivent. Anticipant sur l'attribution de son brevet, il est venu à Toulouse et se trouve sans emploi. Il part donc travailler à Bordeaux pour le compte d'imprimeurs comme Tarnac et barreyre, mais il ne réussit pas plus à avoir un brevet et décide d'aller à Paris. Passant par Rochefort, il a l'idée de demander un brevet pour cette ville, qui lui est refusé. Ayant obtenu son brevet pour Toulouse, il ne renonce pas à Bordeaux mais, malgré ses réclamations, l'administration ne trouve pas trace de ses demandes. Le brevet pour Toulouse est annulé en 1860 pour cause d'inexploitation. Il a quitté la ville à cause de problèmes financiers et a gagné Lyon où, avec un associé, il se lance dans la teinture pour les crêpes qui ne réussit pas mieux. Il sollicite donc en 1862 un nouveau brevet de lithographe pour faire de l'autographie ; malheureusement, le rapport note qu'il vit "séparé de sa femme par suite de leur inconduite commune" et qu'il a "essayé une foule d'entreprises et n'a réusi dans aucune par suite de ses habitudes de néglignece et d'ivrognerie". Ses nombreuses suppliques ultérieures resteront sans succès.
Né le 24 mars 1817 à Bourg dans l'Ain. Son père était tisserand.
Elle est née à Saint-Thibault (Seine-et-Marne) le 30 mars 1831. Elle est fille et épouse d'instituteur et elle est elle-même institutrice diplômée le 24 mai 1862.
Elle reçoit d'abord un brevet de libraire le 13 juillet 1863, puis son brevet de lithographe par création avec le soutien du député.
Il est né le 1er avril 1804 à Strasbourg (Bas-Rhin) ; son père était chef culottier au 26e régiment de dragons. Il meurt le 4 août 1841.
Il est d'abord associé avec Payen, puis décide de demander son propre brevet.
Passage Radzivill et 48, rue de Valois (1849)
Elle est née le 26 octobre 1801 à Beauval (Somme) ; son père était garçon meunier. Elle est l'aînée de 9 enfants. Venue à Paris à 18 ans, elle travaille comme servante jusqu'à son mariage en février 1836 avec Guilloteaux.
Après la mort de son mari en août 1841, elle a continué à faire tourner l'imprimerie mais elle n'a pas fait de demande de brevet, croyant, dit-elle, que ce n'était pas nécessaire ; elle est rappelée à l'ordre en 1844 avec menace de fermeture si elle ne l'obtient pas. Or elle veut conserver le brevet pour son fils mineur (il a six ans). Le rapport la concernant est très favorable : depuis la mort de son mari, elle a réussi à payer ses dettes ; elle soutient ses parents et l'une de ses nièces qu'elle a recueillie. Elle est donc brevetée. Elle possède une presse lithographique, une presse pour la taille-douce et une petite presse lithographique pour les cartes de visite, l'essentiel de sa production avec quelques travaux de ville. Elle est aidée depuis 1847 par Adolphe Lévêque. Il semble qu'elle soit morte en 1849 et que la reprise de son brevet soit refusé, en novembre, à un nommé Duchâteau, fabricant de bijoux.
Il est né le 12 juin 1798 à Morlaix. Il est petit-fils de libraire et fils d'imprimeur libraire. A la mort de son père, sa mère a repris l'imprimerie et les brevets. Elle démissionne du brevet de typographe en faveur de son fils en 1820 ; son brevet de libraire est transféré à celui-ci quand elle meurt en 1831.
Il justifie ainsi sa demande d'un brevet de lithographe : " Je ne fais que des ouvrages de ville et la lithographie envahit cette partie de l'art typographique". Il est l'imprimeur de la Sous-Préfecture et il a "plusieurs fois refusé le service de ses presses à la publication d'écrits dictés par l'esprit des partis". Il est condamné le 7 novembre 1855 à payer une amende de 3 000 F pour défaut d'adresse sur une liste de candidats, mais le Sous-Préfet plaide l'indulgence et remise complète lui est faite de l'amende en janvier 1856. Il est l'imprimeur de l'Écho de Morlaix.
13, rue de Bondy (1855) 13, rue Ponceau (1849)
Il est né le 22 février 1813 à Paimboeuf (Loire-inférieure) ; son père était négociant à Nantes. Il a servi 8 ans dans la marine royale, puis il a été commis voyageur. Il est dessinateur.
Le préfet de Police énumère toutes les raison de s'opposer à son brevet : il ne peut même pas payer sa chambre dans un garni ; il s'enivre parfois ; il est en rapport avec un Nantais qui a été chassé de l'imprimerie du journal Le Siècle. Il s'avère que son père vient de l'installer à Paris et que ces reproches ne sont pas fondés. Il se présente en 1849 comme imprimeur lithographe et peintre sur étoffes.
15, quai Saint-Michel
Il est né le 5 juin 1814 à Lyon ; son père était officier de la Compagnie de réserve du département du Rhône. Il a été fourrier dans le 56e régiment de ligne, puis commis chez un homme d'affaires, enfin ouvrier chez Veyrassat.
Veyrassat ne faisant pas ses affaires lui cède son brevet. Il a l'intention de travailler avec sa mère.
Il est né le 24 janvier 1812 à Guntzbourg (Bavière). Son père était médecin à Lunéville. Il a été marchand tailleur, puis ouvrier lithographe.
Son brevet est annulé en 1860 car il n'exploite plus son brevet et son adresse est inconnue.
Il est né le 12 septembre 1818 à Marseille. Son père était cordonnier. Il a été exempté de service militaire pour faiblesse de constiitution et il a déjà travaillé quinze ans comme ouvrier lithographe. Il meurt le 18 septembre 1865.
Sa première demande de brevet par création, en mai 1853, a été rejetée, mais agréée dès lors qu'il s'agissait d'un tansfert.
Il est né le 19 septembre 1801 à Privas, dans une famille d'imprimeurs depuis plusieurs générations puisque son aieul était installé imprimeur à Bourg-Saint-Andéol avant la Révolution. Son père, qui possédait 4 presses typographiques et imprimait le journal d'annonces du département avait été en conflit avec le Préfet, en 1826 ; celui-ci l'accusait de pratiquer des prix exorbitants et de l'obliger à faire faire des impressions à Valence ; en conséquence, il demandait à ce qu'une presse lithographique soit installée à la Préfecture et que la demande de brevet lithographique de l'imprimeur soit rejetée. Il a travaillé chez Joland à Valence dans les années 1833-1834, puis dans l'entreprise familiale comme typographe. Il a épousé Marie Chalamel qui le supplée dans l'entreprise.
Il a repris les brevets de libraire et d'imprimeur en lettres en remplacement de sa mère le 18 mars 1851 et s'est mis en société avec son beau-frère, Sauzon, horloger. Il justifie sa demande de brevet de lithographe par le fait que, son confrère faisant toutes les publications administratives, il reste encore bien d'autres impressions à faire. À sa mort, le 5 avril 1866, sa veuve reprend ses brevets.
Il est né le 22 septembre 1835 à Saint-Aignan (Loir-et-Cher). son père était régleur de papier. Il a été ouvrier lithographe.
Il fait des travaux de ville.
Il est né à Bordeaux le 26 avril 1799 ; son père était opticien. Il se prévaut de 20 ans de pratique de la lithographie, à Paris jusqu'après la Révolution, puis à Bordeaux. Il a participé, dit-il, à la composition de textes politiquement importants à Paris ; il est en 1835 employé à l'imprimerie et à la rédaction du Mémorial bordelais.
En janvier 1835, il demande un brevet d'imprimeur en lettres qui lui est refusé en raison du grand nombre de typographes déjà installés. À défaut, il demande, le mois suivant, un brevet de lithographe qui lui est accordé en avril. En mai, il renouvelle sa demande de brevet de typographe en l'accompagnant d'un projet de "gymnase typographique" pour l'École royale des sourds-muets ; il a le soutien de la commission administrative de l'École qui fournira le local dans l'institution et 4 à 8 apprentis qui seront aussi inités à la taille-douce et à la papeterie. C'est une levée de boucliers : une quinzaine d'imprimeurs, après avoir dénoncé une ruse de Guizonnier pour se procurer de la main d'oeuvre à bon marché, proposent à leur tour de former des sourds-muets ; une pétition réunissant 80 signatures d'ouvriers dénonce l'exploitation dont sont l'objet les apprentis et s'oppose à la proposition des imprimeurs ; une nouvelle pétition de 13 imprimeurs fragilise la position du Préfet, plutôt favorable à Guizonnier, face à la direction de la Librairie. Le 19 novembre 1835, la demande est officiellement rejetée. Guizonnier se plaint que, croyant le Préfet sur parole, il a abandonné sa place de prote et investi dans l'achat de matériel ; la commission réaffirme qu'elle encadrerait l'imprimeur pour éviter les abus et insiste sur la particulière adaptation des métiers du livre au handicap de la surdité. Finalement, le brevet est délivré le 12 février 1836, mais à titre conditionnel. L'enseignement aux sourds-muets ne dure que deux ans à cause "de convenances administratives et de l'incompatibilité de ce genre d'enseignement avec le mode d'éducation qu'ils reçoivent". Guizonnier reprend son matériel et demande un brevet d'imprimeur en lettres définitif. Malgré des demandes répétées, il ne l'obtiendra jamais ; en 1848, le rapport note que le mauvais état de ses affaires (il a cédé son brevet de lithographe) ne lui permettrait pas de s'installer, qu'il est honnête mais "un peu adonné à la boisson".
35, rue Saint-Merri
Elle est née le 8 mai 1822 à Bellefontaine (Vosges) ; son père était menuisier. Elle était servante et elle a vécu pendant 12 ans chez Ducrest qui a fini par l'épouser trois ans avant sa mort.
Son instruction "laisse à désirer" comme en témoigne une dictée émaillée d'un très grand nombre de fautes d'orthographe, mais grâce à la tolérance accordée aux veuves, aux bons renseignements recueillis sur elle, au soutien qu'elle apporte à sa mère âgée de 78 ans et restée dans les Vosges, elle obtient son brevet.
72, passage du Caire (Paris) 106, passage du Caire (Paris) 97, rue de Flandre (La Villette)
Il est né le 5 novembre 1804 à Lyon (Rhône). Son père était boulanger. Marié et père de 5 enfants, il dit avoir été blessé au Louvre en 1830, alors qu'il était garde national. Il meurt le 10 juillet 1859.
Il demande un brevet d’imprimeur en lettres à la Chapelle Saint-Denis en mars 1839 qui lui est refusé, malgré l’appui de 13 commerçants de La Villette. Il demande en janvier 1841 le transfert de son brevet de lithographe pour La Villette alors que son brevet de lithographe pour Paris n’a jamais été utilisé. Il veut faire des registres pour les marchands de charbon. Il argue que le loyer est trop élevé passage du Caire et qu’il a des difficultés de santé. Il fait ensuite la demande d’un brevet de libraire pour un cabinet de lecture qu’il obtient le 3 décembre 1841. En mai 1846, nouvelle demande d'un brevet d’imprimeur en lettres pour La Villette : refusé. Il rétère sa demande en mars 1848 et en 1850, sans plus de succès. Sa femme est restée passage du Caire où elle exerce la profession de brocheuse. En 1854, il demande pour elle le transfert à Paris de son brevet de libraire.
84, rue de Flandre (1860)
Il est né le 15 février 1830 à Paris. Il est sapeur pompier, membre du bureau de bienfaisance, administrateur et fondateur de la Société municipale de secours mutels du 19e arrondissement.
Il a dirigé pendant dix ans l'imprimerie de son père et lui succède. Il devient également imprimeur en lettres en 1874.
Il est né à Châteaugiron (Ille-et-Vilaine) le 27 juin 1840 ; son père était ferblantier. Il est d'abord clerc de notaire.
Après un brevet de lithographe, il obtient le 16 septembre 1868 un brevet d'imprimeur en lettres et déclare devenir aussi libraire le 6 octobre 1870.
76, boulevard du Musée
il est né à Marseille le 12 juillet 1861.
4, rue des Tanneurs
Il est né à Roquecourbe (Tarn) le 1er octobre 1836.
Il remplace comme libraire, typographe et lithographe Pascal Montauzé.
<p>Né le 24 septembre 1840 à Roquecourbe (Tarn) ; son père était boulanger. il est ecriv lith</p>
Il a été libraire et lithographe breveté pour Sedan (Ardennes) 14 mars 1863. remplace Mme Michel veuve Solleret remplacé le 17 11 1866 par Depoisier nicolas jean baptiste signature pour sedan de barthe, grandremy eugène eclercq
Elle est née le 11 janvier 1804 à Saint-Paul-la-Coste (Gard). Son frère, qui avait repris la part de Trouillet dans l'imprimerie typographique en 1835, puis l'avait gérée seul à partir de 1837, est mort le 3 janvier 1853, laissant un fils de 13 ans ; elle prend donc la direction de l'imprimerie pour assurer la subsistance et l'avenir de son neveu.
Elle se repose pour la gestion de l'imprimerie sur un prote, Jalaquier, et le rapport du Préfet note que l'imprimerie Dhombres marche très bien.
68, passage du Caire
Elle est née le 16 janvier 1821 à Saint-Agnan (Nièvre). Elle était dame de comptoir chez Riché/et ?, imprimeur lithographe.
Elle emploie 3 ouvriers et possède 4 presses. Elle fait des travaux de ville.
Il est né à Commenailles (Jura) le 2 novembre 1835. Son père était maréchal ferrant et sa mère cultivatrice. De 1844 à 1866, il habite Saint-Ylie et travaille, pour les neuf denières années, chez Dupré-Prudont.
Il rachète à Laurent Dupré, son patron, l'imprimerie, laissant la librairie à Bluzet. Il reprend donc les deux brevets d'imprimeur en lettres et de lithographe. Il les cédera finalement en même temps à Bluzet trois ans plus tard.
Rue Saint-Gilles
Il est né le 4 octobre 1836 dans une famille d'imprimeurs-libraires originaires de Morlaix, venus ensuite à Landerneau, puis installés à Saint-Brieuc en 1819. A la mort de son père, le 22 septembre 1857, il prend sa succession.
L'imprimerie Guyon partage avec l'imprimerie Prud'homme l'essentiel des impressions à Saint-Brieuc jusqu'en 1929, quand un incendie ravage les locaux. Francisque Guyon, qui a succédé à son père Victor, s'associe alors avec Armand Prud'homme pour fonder Les Presses bretonnes. De 1870 à 1944, les Guyon publient le Moniteur des Côtes-du-Nord.
Il est né de père inconnu le 25 janvier 1831 à Mutzig (Bas-Rhin), mais il vit depuis son enfance à Mulhouse.
Il est d'abord papetier et il est breveté libraire en même temps que lithographe.
5, rue du Mouton (1819) 17, rue du Petit Lion Saint-Sulpice
Il dirige l'établissement « La Petite Vertu », au 5, rue du Mouton, connu depuis 1602, fabricant de "toute espèce d'encres et tous les objets qui ont rapport avec la fourniture des bureaux".
Il aimerait joindre à son commerce de papeterie celui des plans, de la musique et des cartes géographiques. C'est pourquoi il demande le brevet d'imprimeur lithographe. Cela lui permet d'orner de lithographies comme les portraits de Louis XVIII et de la comtesse de Provence le papier à lettres qu'il vend et d'éditer de la musique. Cette dernière activité, dirigée par Paulmier fils, propose aux compositeurs des "avantages supérieurs", si l'on en croit une annonceinsérée en décembre 1819 dans le Moniteur. Il démissionne en faveur de Mantoux le 1er juin 1824 et semble avoir continué à vivre comme graveur et auteur de cartes géographiques.
Il est né à La Ferté-sous-Jouarre le 30 décembre 1832 où son père était libraire et relieur. Il a une formation d'écrivain lithographe.
Il reprend le brevet de lithographe de son oncle et remplace, dès 1860, son père qui lui cède son fonds de librairie pour 1 000 F. Toutefois, il ne fait pas de demande de brevet et ne déclare officiellement son activité que le 29 février 1872, après le décès de son père.
Il est né à Condé-en-Brie le 16 mai 1794 ; son père était instituteur. Il a été ouvrier lithographe et brocheur à Paris.
Il reprend le brevet que lui cède son frère. En 1859, il se désiste en faveur de son neveu Émile Gustave Guyot.
Il est né à Condé-en-Brie (Aisne) le 24 décembre 1798 ; son père était instituteur.
Il a fait une première demande de brevet de libraire en 1827 qui n'est satisfaite, après un refus, que le 11 mars 1828. Puis il demande un brevet d'imprimeur en lettres qu'il reçoit le 14 décembre 1830 mais il s'en sépare dès le 29 août de l'année suivante en faveur de l'imprimeur Guédon. Le 20 décembre 1844, il est condamné par le tribunal de Meaux pour avoir enfreint la règle de non-concurrence liée à la cession de ce brevet à Guédon, mais ce dernier se plaint qu'il ne respecte pas l'interdiction qui lui a été faite de poursuivre ses impressions ; il est même soupçonné de chercher à utiliser un prête-nom en la personne du lithographe Ligneau qui sollicite un brevet en 1845. En octobre1848, Il décide de se séparer de son brevet de lithographe en faveur de Jules Cuviller, artiste musicien qui n'est pas agréé par l'administration, puis, en mai 1849, en faveur de Louis-Rémy Lagroue, un jeune écrivain lithographe qui finalement y renonce. Invoquant ses revenus insuffisants pour nourrir sa nombreuse famille et la concurrence trop rude, il cède finalement son brevet de lithographe à son frère pour se faire de l'argent et demande à nouveau un brevet de typographe, mais pour Claye-Souilly ; il lui est refusé le 27 février 1851 de même que pour La Ferté-Gaucher. Toutefois il obtient pour cette ville un brevet de lithographe, ce qui implique qu'il démissionne de son brevet de libraire pour La Ferté-sous-Jouarre. Il choisit finalement de renoncer à son brevet de lithographe et continue d'exercer le métier de libraire jusqu'en 1860 ; à cettte date il cède sa librairie pour 1 000 F à son fils sans demander officiellement le transfert du brevet.
115, passage du Caire
Elle est née le 8 juin 1823 à Provins (Seine-et-Marne) où son père était marchand. Elle est mère d'un enfant.
Pendant la longue maladie de son mari, elle a dirigé son imprimerie lithographique et ses 5 presses. À sa mort, en mars 1859, elle demande à reprendre son brevet, mais elle lui survit peu.
54, rue de Rome
Elle est née le 6 décembre 1825 à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Son père était maréchal ferrant. Elle a travaillé pendant sept ans avec son mari. Au décès de celui-ci, en juillet 1862 , elle a trois enfants dont l'aîné n'a pas six ans.
