Nos femmes consentent encore à diriger notre ménage ; mais
elles veulent être aimées comme femmes et estimées comme créatures
humaines égales en droits à l’homme. Elles ne se résigneront plus à
servir de jouet, de meubles. Il faut donc les accepter comme des sœurs,
déshéritées jusqu’à ce jour de leurs droits naturels et qui les
revendiquent aujourd’hui.
Bien heureux si elles ne veulent pas un jour nous suivre dans le domaine
de la politique.
Notes
Nos femmes consentent encore à ce diriger notre ménage ; mais
elles veulent être aimées comme femmes et estimées comme créatures
humaines égales en droits à l’homme. Elles ne se résigneront plus à
servir de jouet, de meubles. Il faut donc les accepter comme des sœurs,
déshéritées jusqu’à ce jour de leurs droits naturels et qui les
revendiquent aujourd’hui.
Bien heureux si elles ne veulent pas un jour nous suivre dans le domaine
de la politique.