Le chemin de la vie est bien rude à descendre ; Tes livres le diront. - Puisses-tu ne l’apprendre, Fils, jamais autrement ; moi, pour te préserver Des chagrins d’ici bas, bien avant ton lever, À la mère de Dieu j’adresse une prière Pour que son fils aimé rende ta carrière Tranquille, heureuse et longue. Écoute encore chéri. Et tu joueras après sur le gazon fleuri. Je ne sais pas ce que sera ta destinée Dans la foule où bientôt, ta jeune âme étonnée Prendra place, à son tour. Dieu lui seul y peut lire et de son doigt puissant Il marque les jalons où viennent disparaître Les Peuples et les Rois, et l’Esclave et le Maitre".
Notes
Le chemin de la vie est bien rude à descendre ; Tes livres le diront. - Puisses-tu ne l’apprendre, Fils, jamais autrement ; moi, pour te préserver Des chagrins d’ici bas, bien avant ton lever, À la mère de Dieu j’adresse une prière Pour que son fils aimé rende ta carrière (illisible) brillante au moins ! Tranquille, heureuse et longue. Écoute un dernier motencore chéri. Et tu t’en liras joueras après sur le gazon fleuri. Je ne sais pas encore qu’est-ce qui sera ton lotJe ne sais pas ce que sera ta destinée Dans la foule où bientôt, ta jeune âme étonnée Prendra place, à son tour. Quelle sera ta destinée ?[a]a. La phrase barrée est mise dans un carré. Nul ne le sait. Le champ de l’avenir est grand. Dieu lui seul y peut lire et de son doigt puissant Il marque les jalons où viennent disparaître Les Peuples et les Rois, et l’Esclave et le Maitre"[b]b. Le passage est encadré..