[...] ne fallait pas y penser et depuis ce temps-là, je ne lui en ai plus reparlé.
Les communications qu’on t’a faites de mes lettres, n’ont donc été que des interprétations et ce n’est pas Mère , je le crois, qui te les a dites.
Enfin ta lettre n’est d’un bout à l’autre qu’une menace perpétuelle et il n’est pas jusqu’à ton dernier paragraphe, où tu m’offres tes services, qui ne soit écrit avec une sécheresse à laquelle je ne suis pas habitué de ta part.
Je finis. Il y a beaucoup de choses que je ne puis te dire. Mais encore une fois, sois bien persuadé que je n’agirai jamais contre ma conscience.
Ton frère toujours affectionné