[...] mal ; tu réussiras ; je l’ai entendu dire par beaucoup de monde ; le jour où tu te livreras à l’industrie, tu feras fortune. Tant mieux. Au moins quelqu’un de la famille surnagera.
Pour éviter un port de lettre inutile, je fais passer cette lettre par Mère .
Écris-moi donc, je suis inquiet, mécontent de moi-même ; restons donc bien affectionnés l’un pour l’autre et ne doute pas de mes sentiments pour toi.
Au revoir, mon cher ami, je
t’embrasse de cœur. Tout à toi d’amitié
Monsieur Charles