[...] et lui annoncerai cette nouvelle.
L’heure de la poste me presse trop, et je veux avant tout t’en prévenir.
Bon courage, ma bonne mère , l’horizon s’éclaircit un peu ; nos affaires finiront par s’arranger.
Au revoir, à bientôt. Tu ne saurais croire le bonheur que j’éprouve à la pensée que je vais vous revoir tous.
Je t’embrasse de cœur et suis plein de joie en songeant à celle que
tu vas éprouver. Embrasse
Père
,
Sœur
et
Henriette
pour moi. À vous
tous
Ton fils dévoué
(P.S. : ) J’attends ta réponse poste pour poste.