[...] ressemble, ma bonne mère , c’est tout ce que nous désirons.
Ne t’inquiète pas de moi ; le plus fort est fait. Avec du courage on sort de beaucoup d’embarras et je suis sûr de moi. Je ne t’écrirai plus que le jour de mon départ.
Je t’embrasse avec Père et
Henriette
, qui est un peu
malade ; j’espère que cela ne sera rien. Ton fils dévoué qui
t’aime
(P.S. : ) Vois-tu, bonne mère , le plus fort est fait ; dans quelques jours, je serai libre et j’ai, Dieu merci, encore assez de jeunesse pour travailler et me faire une position.
Du courage ! Peut-être réussirai-je de manière à te satisfaire aussi.
Madame Delescluze