A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W Y Z
LAMIER, épouse BOUGREL

Nom : LAMIER, épouse BOUGREL
Prénom : Désirée, Agathe
Date : 05/05/1832

Adresses professionnelles

Rue des Moulettes

Ville : Verneuil (Eure)

Informations personnelles

Elle est née le 15 mai 1794 à Argentan (Orne). Son père était cuisinier. C'est une ancienne institutrice qui a tenu, pendant dix ans, un pensionnat de jeunes filles à Nonancourt. Elle a voulu s'installer libraire à Paris mais finalement s'est installée à Verneuil avec un brevet obtenu le 25 août 1829.

Informations professionnelles

Elle demande son brevet de lithographe car elle veut utiliser une presse autographique.

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LAMORÉE dit FOREST

Nom : LAMORÉE dit FOREST
Prénom : Vincent, Jacques, Joseph
Date : 07/12/1836

Adresses professionnelles

2, quai de la Fosse
1, place du Commerce (1861)

Ville : Nantes (Loire-inférieure)

Informations personnelles

Il est né le 4 octobre 1808 à Nantes. Son père était imprimeur. Il a travaillé chez Didot avant de revenir diriger pendant six ans l'imprimerie que sa mère, devenue veuve, a reprise. En 1842 il demande à être nommé agent spécial chargé de la vérification des livres venant de l'étranger, fonction qu'avait remplie son père.

Informations professionnelles

Il a obtenu ensemble les brevets de lithographe et d'imprimeur en lettres que sa mère lui a cédés. Il imprime Le Maine et l'Anjou historiques, archéologiques et pittoresques, [...] dessinés d'après nature par le baron Wismes, [...] planches lithographiées par MM. Arnoult fils, Bachelier, Ph. Benoist, Cicéri, Dauzats... et autres prinicpaux artistes de Paris ; l'ouvrage paraît en 55 livraisons contenant 108 planches, entre 1854 et 1862, et nécessite la collaboration du lithographe parisien Auguste Bry.

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LAMOTHE

Nom : LAMOTHE
Prénom : Mathieu
Date : 30/08/1837

Ville : Bordeaux (Gironde)

Informations personnelles

Il est né  le 27 octobre 1806 à Louey  (Hautes-Pyrénées) ; son père était cultivateur.

Informations professionnelles

Son brevet est annulé en 1860, car il est inexploité et on ne sait où se trouve son titulaire.

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LAMY

Nom : LAMY
Prénom : Charles, François
Date : 27/07/1849

Ville : Paris

Informations personnelles

Il est né le 5 avril 1803 à Paris. Il est marié, mais séparé de sa femme, et père de 3 fils qu'il a formés à la lithographie, faisant apprendre le dessin lithographique à l'ainé, l'impression aux deux plus jeunes. Il est parti en 1836 en Algérie pour être doreur sur métaux , mais ce fut un échec, "vu que les états de luxe sont généralement peu lucratifs dans la colonie". Il fut ensuite infirmier à l'hopital militaire du Dey,  puis dans divers autres établissements militaires. Il est rentré en France après le décès de sa mère et s'est lancé dans la commission en imprimerie avec un meilleur succès puisqu'il possède deux maisons situées boulevard de Montreuil et dit avoir 2 000 F de rentes. Exempté de service de la Garde nationale à cause d'une infirmité, il a tout de même paru dans ses rangs en juin 1848 "pour défendre l'ordre public".

Informations professionnelles

Il a fait pendant dix la commission en travaux lithographiques, mais le rapport constate, bien que sa dictée soit très correcte, qu'il ne sait pas l'orthographe ; "toutefois elle [sa dictée] semble indiquer de la part de son auteur une certaine éducation et l'intelligence suffisante pour exercer d 'une manière convenable la profession d'imprimeur lithographe". L'essentiel du travail serait fait par ses trois fils, âgés de 18 à 20 ans qui ont reçu une éducation convenable. .

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LAMY

Nom : LAMY
Prénom : Michel, Adolphe
Date : 23/08/1861

Adresses professionnelles

8, rue d'Anjou Saint-Honoré

Ville : Paris

Informations personnelles

Il est né le 28 octobre 1830 à Paris. Son père était commissionnaire en imprimerie, puis breveté lithographe. Il a reçu une formation de dessinateur lithographe et il a travaillé dans l'imprimerie de son père qui démissionne en sa faveur. Il est marié et père de 3 enfants.

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LAMY

Nom : LAMY
Prénom : Louis, Ferdinand
Date : 24/04/1876

Adresses professionnelles

43, rue Saint-Antoine

Ville : Agen (Lot-et-Garonne)

Informations professionnelles

Typographe et lithographe, il remplace Prosper Noubel.

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LANCELIN

Nom : LANCELIN
Prénom : Théodore, Alexandre
Date : 01/02/1867

Ville : Saint-Germain (Seine-et-Oise)

Informations personnelles

Il est né le 17 août 1827 à Paris ; son père était compositeur. Il a travaillé 17 ans à l'Imprimerie impériale comme compositeur.

Informations professionnelles

Il reprend les quatre brevets de Picault.

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LANÇON

Nom : LANÇON
Prénom : Jules, Émilien
Date : 09/10/1865

Adresses professionnelles

20, rue Saint-Désiré

Ville : Lons-le-Saunier (Jura)

Informations personnelles

Il est né à Sellières (Jura) le 14 octobre 1840. Son père était épicier. Il vit à Lons-le-Saunier depuis 23 ans et il a travaillé comme typographe et lithographe chez Robert.

Informations professionnelles

Il fait la demande des trois brevets en même temps car il veut développer sa fabrique de registres.

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LANÇON

Nom : LANÇON
Prénom : François, Apollinaire
Date : 26/07/1865

Ville : Lons-le-Saunier (Jura)

Informations personnelles

Il est né le 16 août 1815 à Arbent (Ain). Son père était instituteur. Il dirige depuis 18 ans une imprimerie et il est maire de Perrigny (Jura).

Informations professionnelles

Il soutient sa demande en exposant qu'il existe une clientèle potentielle dans l'Ain, la Saône-et-Loire et mêmes certains cantons suisses. Son imprimerie est reprise en 1876 par un nommé Mayet qui est peut-être de sa famille, sa mère étant née Mayet.

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LANDA

Nom : LANDA
Prénom : Jules, Alexandre, Alphonse
Date : 17/01/1854

Adresses professionnelles

20, rue Saint-Sauveur (1854)

Ville : Paris

Informations personnelles

Il est né le 29 mai 1820 à Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire). Son père, Louis Joseph, est employé des contributions indirectes. Il est le frère d'Antoine Landa, l'imprimeur de Chalon. Il est graveur sur pierre de formation et il a travaillé pendant huit mois chez Sapène. Il est célibataire.
En 1871, il participe à la Commune comme garde au 163e fédéré et il est condamné par contumace le 23 décembre 1871 à trois mois de prison pour "usurpation de fonction".

Informations professionnelles

Associé avec un nommé Bourgeois, il envisage d'installer six presses fonctionnant sous l'autorité d'un contremaître mais, le 8 décembre 1854, Gaillard, le commissaire inspecteur de la Librairie, averti que Landa a disparu de son domicile depuis 4 jours et que son imprimerie est à l'abandon sans aucun mandataire désigné, constate que sa disparition s'explique par ses mauvaises affaires et fait apposer les scellés sur les six presses. L'un des créanciers évalue le passif à 6 000 F. Le brevet est annulé.
Il a publié chez Turgis un Peintre des lettres. Recueil d'alphabets.

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LANDA

Nom : LANDA
Prénom : Antoine, *Louis
Date : 14/05/1840

Adresses professionnelles

2, rue de Thiard (184?)
12, rue du Jeu de paume (1865)
Rue de Gloriette (1873)
Rue du Temple et rue de Lyon (1879)

Ville : Chalon (Saône-et-Loire)

Informations personnelles

Il est né le 27 décembre 1815 à Chalon. Son père était commis des impôts indirects. Il est dessinateur lithographe de formation. Ses opinions politiques n'ont pas échappé au Préfet : "Il s'est toujours fait remarquer par l'exaltation de ses opinions avancées ; avant 1848, il était fourriériste et s'occupait activement de propagande phalanstérienne ; depuis il devint l'éditeur d'un journal ayant pour titre Le Démocrate de Saône-et-Loire destiné à propager la doctrine fourriériste, mais qui ne tarda pas à suivre le torrent et à se fondre dans la démocratie révolutionnaire la plus avancée ; enfin, le 17 février 1850, une réunion de républicains avancés a eu lieu chez lui. Depuis le mois de décembre 1851, le sieur Landa n'a donné lieu à aucune observation défavorable, il n'a pas figuré  dans les désordres de cette époque, mais il est toujours considéré par les autorités locales comme professant des idées hostiles au gouvernement de l'Empereur" (rapport de 1858). Les premiers fouriéristes sont apparus à Chalon en 1839-1840, mais ils ne se manifestent publiquement qu'à partir de 1846 par l'organisation de banquets démocratiques et professions de foi dans la presse locale. Lors de la révolution de 1848, ils se joignent aux autres mouvances socialistes et républicaines et publient un nouveau bi-hebdomadaire, Le Démocrate de Saône-et-Loire, qu'héberge et imprime Landa du 22 mars au 29  juillet 1848. Bien qu'écartés des candidatures aux élections, ils restent présents dans les manifestations de la gauche républicaine jusqu'aux poursuites engagées contre eux à partir de juin 1849 et, plus encore, décembre 1851. C'est dans ce contexte que Landa a fait l'objet d'une surveillance régulière. En janvier 1869, il reprend le Progrès de Saône-et-Loire, qui, lancé en août 1867, a cessé de paraître en décembre 1868 à cause de difficultés financières. Jugé par le Préfet "ultra-démocratique, anti-religieux, anti-dynastique, hostile au gouvernement et à l'administration avec une doctrine démagogique qui a une très mauvaise influence sur les classes populaires, notamment dans les campagnes", le journal est l'objet d'une étroite surveillance  jusqu'à son interdiction le 29 octobre 1873 pour un article jugé séditieux concernant les manoeuvres supposées de députés pour rétablir la monarchie grâce au comte de Chambord ; malgré le soutien de personnalités locales, il ne reprendra sa publication qu'en janvier 1876. Quelques publications, après 1870, pour le compte de la Ligue de l'enseignement et pour la délégation maçonnique de 1871 auprès du chef de l'Exécutif attestent aussi sa fidélité aux opinions de gauche.
Membre de la Société d'encouragement pour l'industrie nationale, de la Société des arts industriels et de la Société d'histoire et d'archéologie de Saône-et-Loire, il s'intéresse personnellement aux fouilles des sites préhistoriques de la région, comme à Culles-les-Roches.  Une partie de ses observations dont il a rendu compte, notamment,  en 1869, dans sa "Promenade archéologique aux environs de Chalon" ont servi de point d'appui aux campagnes de fouilles du XXe siècle pour la connaissance de l'habitat de l'âge de bronze dans la région. Toutefois, ses collections et les notes  qu'il avait encore acccumulées ont disparu dans l'incendie de 1877.
Il meurt le 3 mars 1902.
 

Informations professionnelles

Dans les années 1840, ses principales spécialités sont les étiquettes, or et argent, mais aussi tous les papiers filigranés nécessaires aux activités bancaires : actions, billets à ordre, lettres de change..., qu'il fabrique et imprime et pour lesquels il a pris un brevet.
Si ses opinions politiques n'avaient pas attiré l'attention pour l'obtention de son brevet de lithographe, elles sont cause du rejet le 14 janvier 1858, puis le 15 mai 1860, de ses demandes de brevet d'imprimeur en lettres. Il l'obtient finalement le 24 octobre 1861. Ce revirement s'explique par plusieurs raisons. D'abord, il semble s'être politiquement assagi, comme le note le Préfet dès 1858, et, avec 30 presses employant 50 personnes, il est une notabilité locale. Les membres de la Chambre et du Tribunal de commerce soutiennent donc sa demande. Lui-même joint à sa demande un long plaidoyer, insistant sur le sérieux de son travail récompensé par 3 médailles lors des expositions de Paris (1855), Dijon (1858) et Besançon (1860) et une invitation à celle de Londres en 1862, ainsi que sur son dynamisme attesté par ses brevets d'invention déposés en 1843, 1857 et 1859. Il montre surtout l'importance de sa production  :  étiquettes en or et couleurs  pour  les vins et liqueurs, les parfums, les étoffes ; les travaux de précision avec zones colorées et chiffrées (cartes et tableaux  pour ponts et chaussées, compagnies de chemin de fer et usines diverses) ; les travaux d'archéologie et de dessin artistique en couleurs. Or cette production ne concurrence nullement les autres lithographes chalonnais moins spécialisés, d'autant que sa clientèle dépasse les limites du département (Algérie, Allemagne, Suisse, Italie). Il a besoin de la typographie pour soutenir la concurrence sur ces marchés. L'administration semble avoir été sensible à son importance économique car ce plaidoyer rend compte de façon juste de la diversité et de l'importance de sa production. Offrant à sa clientèle lithographie, autographie, typographie et taille-douce, l'imprimerie poursuit son expansion au-delà de la fin de l'Empire. Toutefois, la veine de sa production cartographique, commencée dès 1843, semble s'être épuisée après la série de plans des villes du département publiée en 1869. Dans les années 1870, son papier à en-tête fait primer la fabrication d'étiquettes (pour les vins, la parfumerie, les produits alimentaires, les encres...) sur tous les autres travaux d'imprimerie générale : tableaux-pancartes ; avis, prospectus, mémoires ; travaux commerciaux (factures, prix, chèques, fonds d'archives...) ; affiches de toutes dimensions, en noir, en couleurs, avec dessins ; "ouvrages modernes ou antiques, littéraires, scientifiques, artistiques, en caractères étrangers ou avec illustrations" venant en dernier.
Sa clientèle ne se limite pas à la Bourgogne puisqu'il imprime des étiquettes en chromolithographie pour des vins et alcools de toute la France (vins de Champagne, Noilly Prat...), pour les conserves de truffes du Périgord  (marques Laforest, Pécoul, Benech...en 1875-1876)  et autres produits.
  Le 7 décembre 1877, l'immeuble abritant l'imprimerie (voir ci-dessous) est détruit par un  incendie, né dans l'atelier de menuiserie voisin : "Les livres de M. Landa ont pu être sauvés, mais les pierres lithographiques, le matériel d'imprimerie, la carte de Saône-et-Loire", [le stock de papier] sont devenus la proie des flammes. De la maison Landa ne reste plus que quatre murs" rapporte le Courrier de Saône-et-Loire. Les pertes sont estimées à 150 000 F et les Chalonnais lancent une souscription pour secourir les ouvriers de l'imprimerie réduits au chômage.

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LANDAIS

Nom : LANDAIS
Prénom : Joseph, François
Date : 10/06/1828

Ville : Rennes (Ille et-Vilaine)

Informations personnelles

Il est né le 11 octobre 1790 à Rennes. Il a été élève de l'Ecole de dessin de Rennes et, en 1841, il a 25 ans d'expérience comme graveur sur métaux et 13 comme lithographe.
Il meurt en 1873.

Informations professionnelles

Sa première demande de brevet de lithographe a été rejetée en 1826, l'administration se méfiant des usages possibles de la lithographie ; la seconde, accompagnée d'une pétition signée de nombreuses personnalités locales, est accordée : Landais est le premier lithographe breveté à Rennes. En revanche, sa demande d'un brevet d'imprimeur en lettres sera rejetée en 1841.
Il embauche François Charles Oberthür avec qui il s'associe bientôt.

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LANDAU

Nom : LANDAU
Prénom : Étienne
Date : 17/07/1869

Ville : Casteljaloux (Lot-et-Garonne)

Informations personnelles

Il est né le 19 novembre 1838  au Mas d'Agenais (Lot-et-Garonne). Son père avait été miliataire. Lui-même a été ouvrier lithographe à Bordeaux.

Informations professionnelles

Après avoir obtenu  son brevet pour Marmande le 16 octobre 1868, il obtient son transfert pour Le Mas d'Agenais le 2 mars 1869, puis son échange pour Casteljaloux.

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LANDAUER

Nom : LANDAUER
Prénom : Isaac
Date : 08/12/1869

Ville : Remiremont (Vosges)

Informations personnelles

Il est né le 17 juillet 1846 à Remiremont. Son père, qui est chantre israélite, est né à l'étranger mais lui,  a fait son service  militaire en France. Il a fait son apprentissage à Paris chez Lévy.

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LANDREVIE

Nom : LANDREVIE
Prénom : Paul
Date : 31/08/1874

Adresses professionnelles

11, rue du Consulat

Ville : Limoges (Haute-Vienne)

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LANEFRANQUE

Nom : LANEFRANQUE
Prénom : Joseph, Jean, Adolphe
Date : 27/05/1873

Adresses professionnelles

23-25, rue Permentade (1873)

Ville : Bordeaux (Gironde)

Informations personnelles

Il est né à Bordeaux le 28 septembre 1837 ; il est le fils de l'imprimeur bordelais Joseph Dominique Lanefranque .

Informations professionnelles

Il a géré l'imprimerie de son père, puis de sa mère devenue veuve. À la mort de celle-ci, il reprend son brevet de typographe le 24 juillet 1869. En mai 1873, il s'adjoint une lithographie et une librairie et s'installe rue Permentade. Son papier à lettres commercial décrit ainsi son Imprimerie Centrale : "dix machines à imprimer" dont cinq Stanhope de différents formats, et deux machines à vapeur ; cinq coupeuses ; quatre machines à folioter ; deux machines à régler ; ateliers de  stéréotypie et  de galvanoplastie ; ateliers de brochure, reliure et réglure. Il imprime tous imprimés pour les administrations civiles (mairies, monts-de-piété...) et militaires ainsi que pour les chemins de fer. Il fait aussi tous les travaux de ville comme des étiquettes d'alcools. Il a un correspondant à Paris et des représentants.
À sa mort, l'imprimerie est acquise par l'imprimeur Delmas.

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LANEFRANQUE

Nom : LANEFRANQUE
Prénom : Joseph, Dominique
Date : 05/09/1833

Adresses professionnelles

14, place Saint-Projet (1836)
40, rue Montméjean (1842)
23-25, rue Permentade (1860)

Ville : Bordeaux (Gironde)

Informations personnelles

Il est né le 23 juillet 1797 à Bordeaux ; son père était médecin-chef de Bicêtre et attaché à la maison de l'Empereur. Depuis son enfance, il a travaillé chez l'imprimeur bordelais Racle, le second mari de sa mère, dont il est, avec son frère cadet, le légataire universel.

Informations professionnelles

A la mort de Racle, le Préfet préfère attribuer son brevet de typographe au cadet qui arrive d'Espagne et qui est moins qualifié, des renseignements confidentiels transmis par le comte de P. ayant discrédité l'aîné. Celui-ci obtient néanmoins son brevet deux ans plus tard, le 28 février 1828. En 1835, le cadet démissionne, cédant l'atelier à son frère  et le brevet au prote de celui-ci. L'imprimerie Lanefranque est l'une des plus importantes de Bordeaux, comme l'était celle de Racle ; elle a notamment la clientèle des administrations (Garde nationale, mairie, hospice, octrois...). Toutefois, en 1850, sa soumission pour l'adjudication de ces marchés est rejetée alors qu'il avait accepté d'imprimer La Tribune sous la pression de la Préfecture, et il craint d'être encore exclu de l'adjudication de 1852, malgré sa proposition d'imprimer un journal napoléonien. Sa demande d'un brevet de libraire est rejetée la même année au motif que les libraires bordelais sont trop nombreux. S'il garde jusqu'à sa mort son brevet de typographe, repris le 2 mai 1865 par sa femme associée à son fils (Veuve Lanefranque et fils) puis par ce dernier en 1869,  il se démet en 1858 de celui de lithographe qu'il n'exploitait pas comme l'a noté déjà l'enquête statistique de 1854.

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LANES

Nom : LANES
Prénom : Jean, Hyacinthe
Date : 05/08/1836

Adresses professionnelles

41, rue Notre-Dame (1851)

Ville : Bordeaux (Gironde)

Informations personnelles

Il est né à Bordeaux le 6 février 1800 ; son père était traiteur.

Informations professionnelles

Il obtient un brevet d'imprimeur en lettres le 19 octobre 1847 dont il se démet deux ans plus tard. En 1876, son brevet de lithographe n'est plus exploité.

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LANG

Nom : LANG
Prénom : Isaac
Date : 18/09/1869

Ville : Roubaix (Nord)

Informations personnelles

Il est né à Rosheim (Bas-Rhin) le 2 mars 1847 ; son père était marchand de fer. Il a suivi, comme l'atteste un certificat, les cours de la Société d'encouragement au travail parmi les Israëlites indigents.

Informations professionnelles

L'enquête de 1876 note qu'il a cessé d'exercer : il aurait quitté la ville en 1870.

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LANGE

Nom : LANGE
Prénom : Gabriel, Lucien
Date : 29/12/1875

Adresses professionnelles

Place Collin d'Harleville
37, rue du Grand Cerf

Ville : Chartres (Eure-et-Loir)

Informations personnelles

Il est né à Chartres le 12 juillet 1846. Il se marie à Chartres en août 1874 avec Clémence Victorine Antoinette Rustique.

Informations professionnelles

 Au moment de son mariage ou juste un peu après en septembre 1874, il prend la direction de l’imprimerie-lithographie de son père Jacques Damase Lange, qui avait été gouvernée pendant un peu plus d’une année par Constant Louis Chuteau. La déclaration du 29 décembre 1875 vient régulariser la situation plus d’un an après sa prise de fonction. Il déclare le 10 juillet 1879 s'adjoindre la typographie.

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LANGE

Nom : LANGE
Prénom : Arthur, Jean-Baptiste, *Victor
Date : 16/09/1868

Adresses professionnelles

39, rue Neuve Saint-Merri (1868)
10, rue Jacques de Brosses (1868)

Ville : Paris

Informations personnelles

Né le 10 février 1834 à Paris. Son père était lithographe. Il est marié et père de 3 enfants.

Informations professionnelles

Il était dessinateur lithographe dans la maison Lemercier et a acheté le fonds de Melle Bourse. Fond repris par Jules Camille Legrain?

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LANGE

Nom : LANGE
Prénom : Jacques, Damase
Date : 21/08/1841

Ville : Orléans (Loiret)

Informations personnelles

Il est né le 6 juin 1818 à Mainvilliers (Eure-et-Loir) où son père était vigneron. Il est écrivain lithographe.

Informations professionnelles

Il demande et obtient le transfert de son brevet pour Chartres en 1845.

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LANGE

Nom : LANGE
Prénom : Jacques, Damase
Date : 06/06/1845

Adresses professionnelles

39, rue Saint-Michel (1845)
37, rue du Grand Cerf (1858)

Ville : Chartres (Eure-et-Loir)

Informations personnelles

Il est né le 6 juin 1818 à Mainvilliers (Eure-et-Loir). Son père était vigneron. Il est écrivain lithographe et vit à Chartres depuis 1837.

Informations professionnelles

Il a d'abord obtenu un brevet pour Orléans le 21 août 1841 et demande à l'échanger pour Chartres, avec Mercier, ce qu'il obtient. En revanche, sa demande d'un brevet d'imprimeur en lettres est rejetée le 2 octobre 1847, car le Préfet juge que les imprimeurs installés suffisent. Il renouvelle sa demande en juin 1869.
L'encart publicitaire publié dans Le Glaneur en décembre 1845 annonce une production de travaux de ville : « Ancienne maison Desguiraud. Imprimerie lithographique et autographique de Lange – rue Saint-Michel, n°39, à Chartres, successeur de MM. Dolléans et Mercier. A cette époque de l’année, M. Lange a l’honneur de rappeler à ses nombreux clients que l’on trouvera chez lui toute célérité possible pour la livraison de commandes qui lui seront faites en cartes de visite. Il apportera tous ses soins pour arriver à la plus pure exécution de cet objet de goût. Il saisit cette même occasion pour faire connaître la modicité de ses prix dans tout ce qu’il est appelé à fournir aux administrations et au commerce, tels que : bordereaux de banque, mandats, têtes de registres, lettres de part et d’invitation, adresses, factures, lettres de voiture, étiquettes, etc., dont l’écriture et les dessins sont exécutés par lui : c’est cette exécution par lui-même qui lui permet d’offrir cet avantage. Ses efforts, depuis neuf mois qu’il a pris la direction des affaires de cette maison, ont été couronnés du plus grand succès, et les cinq presses qui fonctionnent journellement dans ses ateliers sont la preuve la plus éclatante de la préférence qui lui est accordée. » Toutefois, la lithographie semble lui avoir permis d'imprimer par autographie des écrits plus engagés.
Il est condamné le 2 février 1853 à une amende de 3 000 F pour avoir imprimé et diffusé un écrit contenant  des allégations injurieuses à l'égard de l'administration. Le Préfet rappelle que " ses antécédents le placent dans les rangs du parti démagogique. Après le 24 février 1848, ses presses servirent à reproduire les circulaires adressées aux électeurs par les candidats de ce parti ou les factum répandus clandestinement par les hommes avec qui il était en communauté d'opinions." Néanmoins, il propose de le soumettre à une peine "qui ne soit pas au-dessus de ses forces" et propose, en juin 1853, de réduire l'amende à 500 F.
En août 1873, Constant Louis Chuteau lui succède.

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LANGLADE

Nom : LANGLADE
Prénom : Pierre
Date : 18/12/1841

Ville : Aubusson (Creuse)

Informations personnelles

Il est né à Aubusson le 28 mai 1812. Son père était peintre et lui-même se dit artiste peintre et dessinateur lithographe. Il a eu deux enfants de son premier mariage.

Informations professionnelles

Avec son brevet de lithographe, il se propose de travailler à Aubusson "pour les négociants et marchands tapissiers dans leur activité commerciale : factures, lettres de voiture, lettres à en-tête, billets, lettres de change"... Il demande ensuite un brevet de libraire qu'il obtient le 5 mai 1843. Toutefois, il se plaint de ne pouvoir travailler facilement à l'amélioration d'un procédé de reproduction en couleurs qu'il serait, de toutes façons, impossible de rentabiliser à Aubusson ; il demande donc un transfert de son brevet pour Paris. Anticipant sur l'obtention de ce transfert, il est parti en 1846 pour Paris où il fait des dessins sur commande pour les lithographes, revenu à Aubusson en 1848, reparti pour Paris. Devant la menace d'une annulation de son brevet  pour Aubusson, il réitère sa demande de brevets pour  Paris ou les Batignolles, et finalement se résoud à rester à Aubusson où il exécute sur ses 2 presses, avec 4 ouvriers, des petites lithographies de commande pour des clients parisiens.

Condamné à 1 000 f d'amende le 15 juin 1855, pour défaut de dépôt d'un Conseil général par Louis Nalèche, tiré à 4 000 exemplaires, il répond aux remontrances du préfet que sa femme et lui  s'ennuient à Aubusson et que, si son brevet lui est retiré, il rentrera vivre de ses dessins à Paris ;  après recours en grâce, son amende est réduite à 500 f.

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LANGLET

Nom : LANGLET
Prénom : Adrien, Adolphe
Date : 01/08/1874

Adresses professionnelles

5, rue l'Isle

Ville : Saint-Quentin (Aisne)

Informations personnelles

Né le 22 avril 1840.  Son père était relieur puis libraire.

Informations professionnelles

Il succède à son père qui avait d'abord été relieur puis libraire à partir de 1849. Il a un brevet de libraire le 3 décembre 1867. En 1874, il se déclare imprimeur en lettres.

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LANGLET

Nom : LANGLET
Prénom : Jacques, Prosper
Date : 28/10/1858

Adresses professionnelles

12 et 18, rue Cadet

Ville : Paris

Informations personnelles

Né le 13 février 1799 à Proix (Aisne), il épouse une couturière, fille d'un imprimeur en taille-douce avec qui il travaille pendant six ans avant de demander son propre brevet en 1852. Il est père de 4 enfants. Sa femme se charge des obligations légales de l'imprimerie (dépôts, déclarations..)

Informations professionnelles

Il  possède 19 presses et emploie une douzaine d'ouvriers. Son chiffre d'affaires annuel est de 25 000 F et son loyer de 2 500 F. Sa spécialité est l'impression de partitions pour le compte du grand éditeur Richault, mais aussi d'autres éditeurs de musique (Heugel, la veuve Launer et son successeur Girod...). Il imprime des dizaines de polkas, valses,mélodies, chansonnettes...
Pour se mettre en conformité avec la nouvelle réglementation, il a demandé et obtenu le 3 juillet 1852 un brevet pour la taille-douce, puis il a demandé un brevet de lithographe, qui lui permettra d'imprimer aussi des couvertures illustrées ; en août 1859, il sollicite la possibilité de placer deux presses lithographiques au 12 de la rue Cadet, n'ayant pas assez de place au 18. Autorisation accordée le 17 novembre 1859  pour un an, prolongée deux fois jusqu'au 15 avril 1861. En 1862, il annonce qu'il acquiert 4 nouvelles presses lithographiques.
Il est condamné, en 1858, à  2000 F amende pour absence de déclaration et de dépôt d'une oeuvre musicale, Zarah, de Melle Borghèse, artiste lyrique ; comme l'oeuvre ne présente aucune caractère compromettant", il obtient sa  grâce. En revanche, le 14  novembre 1862, il est condamné pour avoir imprimédeux chansonnettes immorales intitulées Le flageolet qui ne va plus et Le beau tireur ; l'amende est de 30 F.
Son matériel et son brevet sont rachetés par Simon Richault,  en 1863 car il a fait faillite, mais il continuera à diriger l'imprimerie.

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LANGLOIS

Nom : LANGLOIS
Prénom : *Michel, Romain
Date : 08/10/1839

Adresses professionnelles

59, passage Sainte-Anne, (1839)
62, rue Mazarine, (1854)

Ville : Paris

Informations personnelles

Il est né le 12 août 1813 à Biéville (Manche). Son père était journalier. Il est marié et père de famille. Sa femme est cuisinière chez la baronne de Bellecôte, rue Blanche où ils habitent ; ils ont 3 000 F d'économies. D'abord engagé comme domestique chez l'imprimeur Belin, "remarqué pour sa fidélité, sa conduite et son intelligence", il a été formé chez lui à la lithographie, puis a dirigé l'imprimerie pendant 4 ans, avant de la racheter en novembre 1837. D'après Bailleul, il sait écrire mais ne connaît pas l'orthographe (il lui a fait faire une dictée), ce qui lui semble rédhibitoire. Le dossier traîne donc depuis août 1838 et Langlois doit rappeler en décembre 1838, et de nouveau en juin 1839, qu'il attend toujours le transfert du brevet. Il joint les attestations de satisfaction de plusieurs clients pour des travaux de ville commandés par une compagnie d'assurances maritimes, un entrepreneur d'autographies du passage Choiseul (pour des pièces de procédures exécutées pour les avoués), un établissement bancaire ; l'éditeur Jules Belin, pour sa part, souligne que Langlois a dirigé l'impression des planches illustrant l'Histoire naturelle des mammifères et  l'Atlas des oiseaux d'Europe éditées par son père. Face à ces témoignages, une nouvelle enquête est demandée et  Bailleul, passant sous silence son précédent jugement (Langlois n'a-t-il pas juré qu'il a pris pendant deux mois des cours "avec un maître de français" ?), recommande au ministre de statuer rapidement car cela fait longtemps que Langlois propriétaire du matériel exerce sous le brevet de Belin ; or celui-ci est mort sur ces entrefaites et l'imprimerie est dans l'illégalité. D'ailleurs, Langlois ne fait plus figurer qu'une adresse sur les travaux qu'il livre, comme en témoigne la facture pour Leconte ci-dessous. Le préfet de Police fait donc fin août un rapport très diplomatique et finalement favorable : il est "reconnu qu'il ne manque ni d'intelligence ni de jugement mais qu'il écrit sans correction ni orthographe" mais, ajoute-t-il, "l'art de la lithographie restreint surtout aux procédés de l'impression des ouvrages de ville, n'exige pas des connaissances supérieures ..." Le brevet est donc accordé le 8 octobre 1839.

Informations professionnelles

 Il possède trois presses. En 1854, son brevet est annulé pour inexploitation. Dès 1841, il est déjà employé chez Letronne tout en gardant son brevet, mais Letronne meurt  ;  en 1854,  il a signé un contrat de 2 ans chez Lemercier.  En 1855, il obtient une médaille de 2e classe à l'Exposition Universelle comme contremaître chez Lemercier.

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LANGLOIS

Nom : LANGLOIS
Prénom : *Pierre, Jules
Date : 14/12/1860

Adresses professionnelles

22, rue Montholon
8, rue Rochechouart (1862)

Ville : Paris

Informations personnelles

Il est né le 6 juin 1826 à Paris ; il est célibataire. Il a été militaire puis ouvrier imprimeur.

Informations professionnelles

Le brevet était d'abord demandé pour Émile François Langlois, mais le commissaire inspecteur de la librairie Gaillard l'a soumis à l'épreuve de la dictée et a jugé son instruction insuffisante. Le demandeur s'est donc désisté en faveur de son frère Pierre Jules Langlois. Après avoir écrit sous la dictée de Gaillard, celui-ci juge "qu'il n'est pas plus fort que son frère" et que son orthographe le rend "peu admissible". Il est néanmoins breveté taille-doucier et lithographe en même temps car il est jugé  qu'il a toute l'expérience nécessaire pour diriger une imprimerie.
Exproprié de la rue Montholon, il doit déménager rue Rochechouart.

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LANGLOIS

Nom : LANGLOIS
Prénom : Anatole
Date : 13/05/1878

Ville : Noailles (Oise)

Informations personnelles

Il est né à Liancourt (Oise) le 16 août 1840. Il est notaire.

Informations professionnelles

Il  utilise professionnellement une presse autographique Ragueneau.

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LANGLOIS

Nom : LANGLOIS
Prénom : Simon, Georges, Adrien
Date : 05/01/1839

Adresses professionnelles

"Aux Quatre Coins", 32, rue des Changes

Ville : Chartres (Eure-et-Loir)

Informations personnelles

Il est né le 19 octobre 1805 à Bitche (Moselle). Son père était marchand. Son nom est parfois écrit L'Anglois.
Il meurt le 25 septembre 1863.

Informations professionnelles

Succédant à son oncle Rousselin, il a commencé par être papetier-relieur, puis il a obtenu une autorisation provisoire pour vendre des livres de piété et d'instruction en juillet 1829. Il a demandé à transformer cette autorisation en un titre définitf et il a obtenu son brevet de libraire le 17 juin 1833 ; il vend almanachs, psautiers, catéchismes, etc. En même temps qu'il demande un brevet de lithographe -demande qui suscite l'opposition de l'imprimeur Hébert-, il annonce son intention de pratiquer aussi la taille-douce. Son papier à en-tête annonce en 1838 : "imprimerie lithographique  et autographique ; fabrique de registres ; réglure ; cartonnages ; reliure". La lithographie lui sert à la fabrication de registres, à l'illustration par cartes, tableaux et figures d'ouvrages pratiques (Indicateur du commerce de 1840) ou destinés à l'enseignement (Premières notions d'agriculture à l'usage des écoles primaires, ouvrage manuscrit, destiné à exercer les élèves à la lecture des différentes espèces d'écritures...), mais surtout à des travaux de ville tels que : "factures, circulaires, adresses, prix-courants, billets de commerce, étiquettes, lettres de voitures, avis de voyageurs et autres, têtes de lettres, lettres de faire-part et d’invitation, cartes de visite, registres, affiches, dessins, vignettes, plans, états, et généralement tout ce qui est relatif aux administrations, au commerce, aux sciences et aux arts".  Les nombreuses publicités parues dans Le Glaneur donnent, d'autre part, une idée de son achalandage : "papiers vélins et de toutes couleurs pour lettres, à des prix inférieurs à ceux dits Bath et Weynen, et garantis de première qualité" (1833) ; "un grand assortiment d’articles de nouveautés pour étrennes, tels que bronze, maroquin, jeux instructifs,  librairie et almanachs" ainsi que, pour les notaires, " papiers de couleurs, très forts, pour couvertures d’actes et minutes, à très bon marché" (1834) ; "médailles en plâtre, bien réussies"  (1835) ; "papiers de tenture de toutes spécialités, en dessins les plus nouveaux, et assortiment de paravents" (1840) ; "fournitures de bureaux, articles de dessin, géométrie, et de peinture à l’huile, assortiment de plumes métalliques"... Il a même, en 1837, ouvert "une galerie de tableaux tant pour vendre que pour servir de modèles".
 

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LANGLOIS

Nom : LANGLOIS
Prénom : Marie, Joseph, Elphège
Date : 28/12/1861

Adresses professionnelles

32, rue des Changes / rue de la Porte Cendreuse

Ville : Chartres (Eure-et-Loir)

Informations personnelles

Il est né le 18 juin 1840 à Chartres. Son père est libraire et lithographe.

Informations professionnelles

Il reprend l'imprimerie paternelle et succède à son père dans ses deux brevets de libraire et de lithographe. Le 12 février 1873, il déclare s'adjoindre une activité d'imprimeur en lettres.

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LANGLUMÉ

Nom : LANGLUMÉ
Prénom : Antoine, Eugène, *Léopold
Date : 04/02/1840

Adresses professionnelles

109, rue du Faubourg Saint-Denis - 7, passage de la Ferme Saint-Lazare (avril 1854)
156, rue du Faubourg Poissonnière (janvier 1854)
99, boulevard Magenta

Ville : Paris

Informations personnelles

Né le 26 novembre 1817, il est le fils de Pierre Langlumé, l'un des pionniers des usages de la lithographie ; à la mort de son père, il était trop jeune pour reprendre son brevet.  Il s'est d'abord destiné à la profession d'horloger. En 1840, il travaille depuis un an chez Théophile Delarue en qualité d'imprimeur lithographe. À cette date, il habite avec sa mère, restée veuve, et ses deux frères, rue Saint Lazare n°10 et paie 400 F de loyer. L'enquêteur chargé de son dossier note qu'il appartient à une famille d'artistes. En 1857, il est marié et père d'un enfant.

Informations professionnelles

 Il signe sa production Langlumé fils. Il travaille pour le théâtre mais  fait aussi des plans  accompagnant des projets industriels comme la Note sur les grues et instruments de levage de Camille Neustadt (1858).
Il a l'autorisation de posséder une presse en taille-douce en 1857 pour imprimer des décalques de musique à reporter sur pierre.

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LANGLUMÉ

Nom : LANGLUMÉ
Prénom : Pierre
Date : 09/07/1820

Adresses professionnelles

"À la pierre lithographique",  4, rue de l'Abbaye (1820)

Ville : Paris

Informations personnelles

Il est né en 1790 à Poitiers (Vienne). Il est marié et père de trois fils.

Informations professionnelles

Il a formé sa première demande de brevet dès juillet 1818 et doit rappeler  à l'administration, en juin 1820, qu'elle ne le lui a toujours pas envoyé ; cela ne l'a toutefois pas empêché de s'installer et de déposer  ses premières productions (Ancien château sur les plages romaines, dessiné par Baugean père, Chapelle sur les bords de la mer aux environs de Gênes Petite marine, enregistrées par la Bibliographie de la France le 12 septembre 1818). Dès la promulgation des lois De Serre, il se lance dans une abondante production de caricatures politiques anti-Ultras. Cette production est arrêtée par l'assassinat du duc de Berry en février 1820 et les lois qui en découlent. Il ne reviendra avec force à la caricature politique qu'à partir de juillet 1830. Il imprime dès la fin de juillet de très nombreuses lithographies à la gloire des combattants et caricatures de Charles X ; entretemps, il aura donné quelques gages avec des estampes édifiantes de la douleur de la "Duchesse de Berry coupant ses cheveux" ou de la clémence de Charles X.
Il a désormais une énorme production de satires de moeurs, souvent réunies en albums (Album comique de pathologie pittoresque, 1823), exécutées d'après des dessins de Pigal, Aubry, Chazal, Colin, Bellangé, puis Philipon, Grandville... Il imprime aussi des portraits classiques lithographiés par Antoine Maurin, des recueils de planches (paysages, fleurs, harnachements militaires), de charmantes illustrations d'Aubry pour le Livre pour un petit garçon / une petite fille bien sage (1824) que Jules Didot veut initier à la lecture de caractères typographiques différents,  et participe à de grandes entreprises de livres illustrés  comme le Voyage pittoresque autour du monde de Louis Choris (1822) et l'Histoire naturelle des mammifères  de Cuvier et Geoffroy Saint-Hilaire (1824) où ses lithographies côtoient celles de Lasteyrie.  Il est aussi le promoteur du procédé autographique auprès de l'administration. En 1828, il offre aux préfets de "former des ouvriers auxquels il enseignerait gratuitement à transporter les autographies pour en tirer un grand nombre d'épreuves. Cette offre produisit peu d'effets car deux préfets seulement répondirent à cette invitation en envoyant des hommes qui firent une espèce d'apprentissage." (Traité complet de la lithographie..., p. 16). Le préfet de la Seine lui avait confié ainsi qu'à Engelmann, en 1828, l'impression par autographie des listes électorales, dont le prix de revient représentait une économie de  60% sur le prix d'une impression typographique. Ce travail mobilisa 20 presses. L'année suivante, il est le seul adjudicataire du marché, Engelmann ayant refusé d'abaisser encore ses prix de 25 % comme le voulait le Préfet. Le préfet de Seine-et-Oise avait aussi choisi le procédé autographique et confié à Delarue l'impression des listes (Ibid., p. 132 et 258).
Il vend du matériel pour lithographes (pierres, plumes...)
Il a écrit avec Chevallier, en 1829, un Mémoire sur l'art de la lithographie. Améliorations à y apporter  qui, après un historique de l'invention, expose les procédés qu'il a découverts pour retoucher ou effacer une planche lithographique par acidulation. Il en montre les résultats au Salon de Douai de 1829. Ses impressions lui ont déjà valu une médaille à l'Exposition des produits de l'industrie française de 1827 et à l'exposition de Cambrai en 1828 ; la Société d'encouragement pour l'industrie nationale lui décerne une médaille d'or de première classe en 1828 et 1830 pour son Traité complet de lithographie, publié avec Chevallier ; ce traité, augmenté de notes des imprimeurs Mantoux et Joumar, est réédité en 1838.
Il est condamné pour contrefaçon en tant qu'éditeur d'une carte routière reprenant une grande partie  d'une carte éditée par la veuve Jean au nom du respect du droit d'auteur (9 août 1838).
À sa mort, il est remplacé le 31 août 1830 par Victor Hippolyte Delaporte, son associé depuis plusieurs années.

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LANGUEHARD

Nom : LANGUEHARD
Prénom : Étienne, Désiré
Date : 02/06/1877

Adresses professionnelles

Passage Bellivet

Ville : Caen (Calvados)

Informations professionnelles

Il semble, d'après les termes de sa déclaration, qu'il était déjà lithographe avant 1877.

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LANIER

Nom : LANIER
Prénom : Eugène, Hippolyte, Alexandre
Date : 19/11/1847

Ville : Dijon (Côte-d'or)

Informations personnelles

Il est né à Orléans (Loiret) le 18 juillet 1821. Son père était sabotier. Il est dessinateur écrivain lithographe à Orléans et possède 12 ans d'expérience.

Informations professionnelles

Sa première demande de brevet (par création) en juillet 1847 a été rejetée car l'administration a jugé que le nombre de lithographes à Dijon était suffisant. En revanche, elle a accepté qu'il reprenne le brevet de Mairet.

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LANIER

Nom : LANIER
Prénom : Pierre, François
Date : 05/12/1846

Ville : Le Mans (Sarthe)

Informations personnelles

Il est né à Saônes (Sarthe) le 5 mars 1813 ; son père était cultivateur. Entre 1830 et 1837, il a travaillé chez un libraire du Mans.

Informations professionnelles

Il obtient le 10 février 1838 un brevet de librairie : il veut faire le commerce des publications religieuses, ce qui lui vaut le soutien de l'évêque. En 1842, il demande un brevet d'imprimeur en lettres pour Sainte-Croix, un faubourg du Mans, mais l'administration le soupçonne de n'être que le prête-nom  "d'un abbé supérieur de plusieurs congrégations religieuses". Le brevet lui est refusé jusqu'au 21 août 1846.

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LANOÜE

Nom : LANOÜE
Prénom : Paul, Eugène
Date : 26/09/1854

Adresses professionnelles

66, rue du faubourg Saint-Martin (1853)
5 bis, rue d'Arcole
20, rue Domat / 51, rue Galande (1866)

Ville : Paris

Informations personnelles

Il est né le 3 septembre 1820 à Paris. Il est marié et père de 5 enfants. Il a travaillé pendant dix-huit ans chez Cattier, Basset, puis Lemercier en tant qu'ouvrier lithographe.

Informations professionnelles

Il a fait une première de demande de brevet par transfert qui a été rejetée le 11 février 1853 "parce que son instruction et son aptitude étaient insuffisantes" ; le commissaire inspecteur de la Librairie Gaillard l'avait interrogé "sur les procédés lithographiques les plus connus" et il ignorait même "les devoirs et les obligations fixés par la loi, pour les imprimeurs" ; la dictée à laquelle il avait été soumis  était d'une écriture peu élégante, mais contenait moins de fautes d'orthographe que ne le suggèrait Gaillard. L'année suivante, il est jugé  "qu'il a acquis une instruction suffisante que l'enquête a constatée" et il obtient donc son brevet.
Il doit travailler pour la Compagnie de chemin de fer du Bourbonnais et de l'Est pour imprimer des cartes et plans de grandes dimensions et redoute de casser les pierres lithographiques de grande taille en les transportant. Pour cette raison, il obtient le 2 octobre 1860 l'autorisation pour un an d'installer 4 de ses huit presses, près des ateliers de dessin de la Compagnie, au 69, rue Blanche ; il s'y installerait définitivement l'année suivante, quand le local entier deviendrait libre ; il renonce rapidement à ce projet et l'autorisation est annulée en décembre 1861. Entre-temps, il a eu des difficultés financières, a emprunté de l'argent à l'ingénieur Perin qui lui fournissait le travail de la Compagnie et s'est fâché avec lui, de sorte que celui-ci a demandé un brevet pour faire lui-même les impressions.
Il fait faillite en 1865 avec un actif de 16 177 F et un passif de 17 456 F. Il reprend néanmoins une activité puisqu'il déclare en 1866, quitter son atelier de la rue d'Arcole pour cause d'expropriation et annonce son déménagement pour la rue Domat.
Il fournit à des imprimeurs en lettres des illustrations lithographiées pour de grandes affiches typographiques, à des éditeurs d'estampes des scènes d'actualité et produit pour son propre compte des recueils de caricatures théâtrales, des affiches publicitaires... Sauf exceptions, comme les caricatures de Carjat, ses lithographies sont d'un style assez banal et conventionnel. Pour les chemins de fer du Bourbonnais, il a lithographié le luxueux atlas grand in-folio des Travaux et matériels de chemins de fer (1868), sous la direction de l'ingénieur Bazaine, et ses 65 planches.
 

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LANTZ

Nom : LANTZ
Prénom : Georges
Date : 29/10/1851

Adresses professionnelles

4, rue de la Loire

Ville : Saint-Étienne (Loire)

Informations personnelles

Il est né à Lixheim (Moselle) le 6 janvier 1795 ; son père était négociant. En 1829, à la naissance de son fils Frédéric à Saint-Etienne, il se dit fabricant de bas. Quand il fait sa demande de brevet de lithographe, il est contremaître dans une imprimerie depuis 10 ans.

Informations professionnelles

Il semble qu'il ait travaillé pour le compte de Mottu et de sa veuve ; en 1852, son fils le dit associé avec de la maison D. Mottu et cie. Après ses brevets de papetier et lithographe, il demande un brevet de libraire pour ouvrir une librairie religieuse protestante pour laquelle il a un avis favorable du président du Consistoire ; il l'obtient le 16 novembre 1857.
Son fils Frédéric est associé à l'imprimeur Nublat et se voit refuser un brevet de lithographe en 1852, l'administration ne voulant pas favoriser cette famille.
L'administration note qu'en 1876, il n'exerce plus.

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LANTZ

Nom : LANTZ
Prénom : Augustin, Georges
Date : 26/05/1869

Ville : Saint-Étienne (Loire)

Informations personnelles

Il est né le 7 février 1841 à Saint-Étienne ; son père était ouvrier imprimeur.

Informations professionnelles

L'enquête de 1876 constate qu'il n'exerce plus.

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LANTZ

Nom : LANTZ
Prénom : Jacques
Date : 24/08/1870

Ville : Strasbourg (Bas-Rhin)

Informations personnelles

Il est né le 20 mars 1837 ; père était aubergiste.

Informations professionnelles

Il remplace Eugène Nicollet démissionnaire.

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LAPÈNE

Nom : LAPÈNE
Prénom : Ferdinand
Date : 30/11/1872

Ville : Bordeaux (Gironde)

Informations personnelles

Il est le maire de la commune du Taillan, voisine de Bordeaux.
 

Informations professionnelles

Il utilise sa presse autographique pour ses besoins administratifs.

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LAPERRIÈRE

Nom : LAPERRIÈRE
Prénom : Charles, Alfred
Date : 07/07/1873

Adresses professionnelles

17, rue d'Aniette

Ville : Rouen (Seine-inférieure)

Informations personnelles

Il est né à Rouen le 2 décembre 1832.

Informations professionnelles

Il crée un atelier lithographique.

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LAPEYRE

Nom : LAPEYRE
Prénom : Théodore, Auguste
Date : 11/08/1834

Ville : Toulouse (Haute-Garonne)

Informations professionnelles

Il obtient le transfert de son brevet pour Agen le 12 décembre 1845.

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LAPEYRE

Nom : LAPEYRE
Prénom : Pierre, Émile
Date : 11/03/1842

Ville : Aurillac (Cantal)

Informations personnelles

Il est né à Aurillac le 10 mars 1816, d'un père pharmacien. Enrôlé volontaire en 1834, il est finalement réformé. Après avoir songé à entrer dans l'administration, il se forme à la gravure sur métal. Toutefois, cela ne lui permet pas de vivre car la demande est faible, et il souhaite augmenter ses revenus grâce à la lithographie.

Informations professionnelles

Il est toujours en activité en 1878.

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LAPEYRE

Nom : LAPEYRE
Prénom : Théodore, Auguste
Date : 12/12/1845

Ville : Agen (Lot-et-Garonne)

Informations personnelles

Il est né à Montauban (Tarn-et-Garonne) le 13 mai 1802. Son père avait été directeur des postes. Professeur d'écriture, il est allé se former à la lithographie chez Palley à Lyon.

Informations professionnelles

Il a obtenu un brevet de libraire et de lithographe pour Agen en 1828, mais il en demande le transfert pour Toulouse afin, dit-il,  de se rapprocher de sa mère qui est âgée. Il est donc breveté pour Toulouse le 11 août 1834. Il en repart dès 1835. Il demande ensuite à revenir à Agen et obtient le même jour ses brevets de libraire et de lithographe. Son commerce de librairie ne marche guère ; il y voit le résultat de la concurrence des bibliothèques de gare et tente d'écouler ses stocks de "bons livres" à la foire de Bordeaux en attendant d'obtenir un transfert de ses brevets pour cette ville où il a de la famille, mais la demande est rejetée le 8 février 1862.

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LAPEYRE

Nom : LAPEYRE
Prénom : Théodore, Auguste
Date : 11/12/1828

Ville : Agen (Lot-et-Garonne)

Informations professionnelles

Il a obtenu un brevet de libraire en même temps que son brevet de lithographe. Il demande ensuite à les transférer à Toulouse, ce qu'il obtient  le 11 août 1834. Toutefois, les témoins affirment qu'il n'est resté que quelques mois dans cette ville qu'il a quittée en 1835. En 1845, on le retrouve breveté à Agen.

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LAPEYRETTE

Nom : LAPEYRETTE
Prénom : Bernard
Date : 27/07/1837

Ville : Oloron (Basses-Pyrénées)

Informations personnelles

Il est né à Oloron le 7 août 1807 ; son père était relieur et libraire à Oloron Il a travaillé longtemps avec l'imprimeur oloronais Serres. Il meurt en 1863.

Informations professionnelles

Il rachète l'imprimerie de son patron qui, une fois ses dettes payées, tente d'annuler la transmission du brevet en le déclarant incapable ; il n'y réussit pas et Lapeyrette obtient son brevet le 9 septembre 1834. A la mort de son père, il demande à reprendre son brevet de libraire le 24 octobre 1851, mais en décembre 1854, il renonce à son brevet de lithographe.
Il fonda un journal hebdomadaire Le Glaneur d'Oloron en 1835. Avant sa mort il vend son imprimerie à Maurice Marque qui poursuit la publication du journal.

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LAPIE

Nom : LAPIE
Prénom : Auguste
Date : 30/05/1839

Adresses professionnelles

10, rue de l'Eglise

Ville : Vouziers (Ardennes)

Informations personnelles

Il est né le 4 juillet 1810 à Reims (Marne). Son père était boulanger.

Informations professionnelles

Il a obtenu un brevet de libraire le 17 août  1831, puis il a fait une première demande de brevet de lithographe en 1833, qui a été rejetée. Quand il renouvelle la demande, le maire fait valoir que l'imprimeur local n'a qu'un seul ouvrier, à la fois compositeur et pressier, et qu'il ne fait jamais attendre sa clientèle, preuve qu'il n'est pas besoin d'un second lithographe.  Pour étayer sa  demande, Lapie soutient qu'à Vouziers "l'instruction y est en arrière de plus d'un siècle", comme a pu le constater l'inspecteur envoyé de Metz, et qu'il est urgent  d'imprimer à Vouziers des livres d'instruction pour la jeunesse. Pour preuve de son désintéressement, il propose "d'établir dans chaque commmune de l'arrondissement un dépôt de livres adaptés pour l'instruction des enfants et de les livrer à 25% en -dessous des prix établis" et "de donner gratis à M. le maire le 13e exemplaire pour être délivré aux indigents de sa commune". De plus, il "propose encore d'imprimer gratis 10 000 feuilles d'impression pour être imprimées comme le ministre l'entendra." En 1857, il rachète une imprimerie et obtient un brevet d'imprimeur en lettres.

Il renonce à son brevet de libraire le 28 décembre1861 et à ceux d'imprimeur en lettres et lithographe le 2 janvier 1866.

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LAPIERRE

Nom : LAPIERRE
Prénom : Jean, François
Date : 30/08/1838

Ville : Gisors (Eure)

Informations personnelles

Il est né le 18 décembre 1797 à Neufmarché (Seine-Inférieure). Son père était mareyeur. C'est un ancien notaire, ce qui lui permet d'invoquer les besoins des notaires et huissiers en matière d'impression lithographique.

Informations professionnelles

Il obtient d'abord un brevet d'imprimeur en lettres le 20 janvier 1834 et, en 1856, un brevet de libraire.  Il est l'imprimeur et gérant du journal Le Vexin.

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LAPIERRE

Nom : LAPIERRE
Prénom : François, Ernest, Édouard
Date : 09/10/1860

Ville : Gisors (Eure)

Informations personnelles

Il est né le 19 août 1831 à Gisors où son père était imprimeur.

Informations professionnelles

Reprenant les brevets et l'entreprise paternelle, il poursuit l'impression du journal hebdomadaire Le Vexin.

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