M. Ventre est introduit et il expose à la Commission l'étude qu'il a fait sur la demande du directeur général. Il propose de ne pas modifier le profil des piliers donnant sur la cour intérieure, de les revêtir de pierre et de les couronner d'un entablement moderne. Les piliers d'angle seraient réunis aux deux piliers voisins et le rythme de l'ordonnance générale serait coupé en quatre points 80/15/029/102 par un motif de sculpture en bas-relief qui remplirait l'espace entre deux piliers. Au centre de la cour se trouverait un motif central formant une sorte de tapis.
M. Huisman invite les membres de la Commission à faire connaître leur avis.
M. Paul Léon n'est nullement hostile à la création d'un décor moderne dans le cadre du Palais-Royal qui a, d'ailleurs, été réalisé en plusieurs étapes.
M. Bonnier pense que ce serait un honteux aveu d'impuissance que de ne pas chercher à introduire des éléments nouveaux tout en respectant le rythme des constructions anciennes. M. Hautecoeur est également de cet avis. Il fait remarquer que le dessin du parterre central proposé offre des formes arrondies qui ne s'harmonisent pas avec l'architecture rectiligne du Palais.
M. Pontremoli, tout en maintenant son opposition de principe à la conservation des deux portiques de la Galerie d'Orléans, reconnaît l'intelligence et l'adresse du projet présenté. Il lui semble pourtant qu'il y aurait intérêt à ne pas couper l'ordonnance des piliers maintenus.
M. Lefèvre dit la difficulté du problème posé.
M. Debidour croit être l'interprète de la Commission du Vieux Paris en disant qu'une solution «pastiche» semble s'imposer dans le cas présent.
Le président invite la Commission à faire connaître par un vote si elle est favorable à 80/15/029/103 l'introduction d'un décor moderne dans le Palais-Royal.
Tous les membres de la Commission sauf trois demandent qu'on étudie la possibilité de décorer en style de 1933 la salle intérieure créée par la destruction des boutiques de la Galerie d'Orléans.
Des personnalités lorraines ont l'intention d'organiser une loterie en faveur des Monuments historiques. Cette opération procurerait vraisemblablement plusieurs millions qui permettraient de sauver de la ruine de nombreux édifices classés.
La Commission forme des voeux pour la prompte réalisation de ce projet.
La Commission demande que les sommes rendues disponibles par suite des rabais obtenus soient employés à la réfection d'une plus grande longueur de berges.
Avis favorable au rétablissement du Bassin des Chiens dans l'état où il se trouvait sous le Second Empire, car il y a tout lieu de croire qu'à cette époque il se présentait tel qu'il avait été créé au XVIIe siècle.
La Commission émet également un avis favorable à l'exécution d'une copie d'Apollon du Belvédère et de la Diane à la biche pour décorer le parc. 80/15/029/104
La Commission adopte l'exécution des travaux urgents prévus au devis s'élevant à la somme de 135 811 Francs 59
M. Formigé a fourni un devis de 499 921 Francs 25. La Commission émet un avis favorable à l'exécution des travaux nécessaires pour assurer la consolidation et la mise en valeur du monument.
La Commission adopte l'exécution des travaux prévus au devis de 477 546 Francs 42 établi d'après le projet de Louzier.
Toutefois le triforium ne devra pas être prolongé dans la partie neuve. Une simple galerie permettra d'accéder aux orgues.
La Commission se prononce en faveur de l'approbation du plan mais elle demande que la Commission départementale des Sites soit invitée à veiller sur la protection de la côte et des fortifications de la presqu'île d'Aleth.
Le Conseil d'État n'a pas cru devoir donner une suite favorable à la demande de déclassement formulée par la Commission.
M. Paquet a examiné de nouveau ce monument qui n'est plus 80/15/029/105 qu'une masse de pierres décomposées, entièrement pourries, déjà en ruines. L'État ne saurait assumer les frais considérables que nécessiterait la réfection de cet édifice sans grand intérêt. Des réparations provisoires constitueraient une dépense inutile.
Dans ces conditions l'administration des Beaux-arts devra se désintéresser du monument et laisser aux propriétaires toute liberté de faire les travaux qu'ils jugeront utiles.
La Municipalité demande que des toitures neuves soient posées sur les deux tours n'étant pas nécessaires pour la conservation de l'édifice ; l'État ne peut dans la situation actuelle, y affecter le moindre crédit.
Caisse Nationale des Monuments historiquesà des propriétaires particuliers pour la réparation de leurs immeubles classés.
La Commission émet un avis favorable à l'adoption de cette procédure à condition qu'elle soit réservée pour les cas exceptionnels.
M. Grand dit l'intérêt qu'il y aurait à s'inspirer des mesures employées en Italie pour permettre la bonification des terres. Les grands établissements de crédit fournissent les capitaux dont l'État assure l'amortissement. Des opérations importantes seraient ainsi rendues possibles.
Avis favorable à l'exécution des travaux prévus au devis de 22 097 Francs 53 établi par M. Formigé, qui devra, pour les questions de détail, se mettre d'accord avec M. Benoit.
Devant les nombreux accidents survenus la Commission reconnaît le danger que présente pour la circulation le passage des camions sous cette porte relativement étroite, et elle estime qu'il n'y a pas lieu de s'opposer au déplacement proposé par la Municipalité.
Mais comme ce monument perdra presque tout intérêt lorsqu'il ne marquera plus l'entrée de l'ancienne ville fortifiée la Commission émet un avis favorable au déclassement. Il conviendra de classer comme Objets mobiliers les trois statues qui surmontent la porte.
Avis favorable au classement proposé par M. Rattier.
La Société des Amis de Pierrefonds sollicite de l'État, pour une durée de 50 ou 99 années, la concession de 12 salles 80/15/029/107 du château où elle projette d'organiser un musée de la chasse. La Commission émet un avis défavorable. Seul un musée d'État se comprendrait à Pierrefonds.
Les modifications proposées reconstituent les dispositions anciennes en vue de la célébration des offices suivant les rites lyonnais anciens.
La Commission émet un avis favorable à l'exécution du projet qui lui est soumis à condition que la totalité de la dépense soit assumée par le département, la Ville et le clergé, car ces travaux n'intéressent pas la conservation de l'édifice.
L'inscription à l'inventaire supplémentaire de toutes les parties non classées est adoptée.
Avis favorable au classement.
Proposition de vente à l'État pour la somme de 2 000 Francs
La Commission demande que la Ville fasse l'acquisition au moyen d'une subvention que l'administration des Beaux-arts mettrait à sa disposition.
Dès maintenant la consolidation de la façade qui constitue un décor très pittoresque devra être assurée.
réparation de la face extérieure 80/15/029/108
La Commission adopte la reconstruction, avec une légère modification de l'arc survaissé détruit par un camion : l'arc serait reconstruit avec une légère surélévation à la clef, pour éviter le retour de nouveaux accidents.
La Commission est appelée à se prononcer sur deux propositions de classement touchant la chapelle des princes de Chalon située dans l'église de Mièges (Jura) et l'abbaye des Fontenelles, commune de Saint-André-d'Ornay (Vendée).
Le maintien de l'Inventaire supplémentaire est adopté. Un nouvel examen pourra être fait, lorsque le service des Monuments historiques disposera de crédits plus abondants.
Afin de sauver ces ruines intéressantes de la destruction qui les menace la Commission émet un avis favorable au classement d'office.
Demande formulée par un groupe de peintre verriers tendant à obtenir l'autorisation de placer dans les fenêtres hautes de la nef les vitraux qu'ils exécutent pour l'Exposition de 1937.
Cette initiative paraît intéressante et, pour l'encourager, la Commission émet un avis favorable à l'octroi d'une subvention de 500 Francs.
Toutes les directives seront données par M. Rattier. Mais la Commission ne s'engage nullement. Une décision ne pourra être prise que lorsque les vitraux auront été exécutés et exposés. 80/15/029/109
(Manuscrit)
La Commission émet un avis favorable à l'exécution des travaux proposés à condition que les pierres neuves ne soient pas fluatées.
La Commission adopte l'exercice des travaux proposés par M. Nodet.
Le classement du chevet romain est adopté. 80/15/029/110
Malgré l'intérêt de ce monument la Commission estime qu'il n'y a pas lieu dans les circonstances actuelles de classer.
Elle se prononce en faveur de la radiation de l'Inventaire supplémentaire
M. Paquet est invité à se mettre en rapport avec les Ponts-et-Chaussées pour réaliser le moyen de sauvegarder les perspectives du plan.
La Commission lui délègue les pouvoirs. Cependant, en cas de désaccord, cette assemblée sera saisie à nouveau.
La Commission adopte l'exécution des travaux urgents destinés à éviter les accidents et prévus par le devis de 59 413 Francs 17.
Les services de la Guerre après avoir envisagé la cession de l'immeuble à l'administration des Beaux-arts ne veulent plus abandonner que le donjon et la chapelle. Le reste de l'édifice leur serait laissé pour abriter un matériel de mobilisation.
La Commission demande que l'administration négocie en vue d'obtenir une cession de la totalité sous réserve que pendant une période de travaux la jouissance d'une partie de la cour soit laissée aux services de la guerre. 80/15/029/111
Les travaux prévus au devis de 750 981 Francs 82 seront exécutés sur les fonds de l'Outillage national.
La Commission adopte la mesure envisagée.
La Municipalité s'engageant à assurer la restauration, la Commission adopte le classement de ces portes malgré l'intérêt secondaire qu'elles offrent.
Afin d'éviter les modifications projetées par le propriétaire, la Commission émet un avis favorable à l'ouverture d'une instance de classement au début du mois d'août et à la reprise de négociation avec la Municipalité d'Aix en vue de l'acquisition. Il conviendrait de permettre une subvention en Conseil municipal pour l'aider à acquérir et à réparer l'Hôtel.
L'inscription à l'Inventaire supplémentaire est adoptée.
La Commission émet un avis favorable à la réparation de deux 80/15/029/112 lions provenant du Dépôt du Louvre
2° au maintien en place des 2 lions en ciment qui paraissent en assez bon état.
Agrandissement de la place du Caurobde àTain-l'Hermitage (Drôme) 80/15/029/113
M. Maringer attire l'attention de la Commission sur l'intérêt qu'il y aurait à sauvegarder l'ensemble des fortifications à Bergues, exemple encore intact d'architecture militaire du XVIIe siècle.
Il fait part des mesures adoptées par la délégation qui s'est rendue sur la place le 26 juin 1935 pour étudier les moyens de concilier la conservation de l'enceinte avec les nécessités de la circulation.
1° Création d'une nouvelle partie cintrée à l'emplacement du souterrain de l'ouvrage Saint-Winoc.
2° Remplacement des poutrelles de bois des portes de Cassel et de Dunkerque par des poutrelles de fer et établissement contre les portes de passerelles pour piétons.
3° Elargissement de la porte à Hondschoote sur l'enceinte extérieure. D'autre part, la délégation a été l'avis d'admettre la création d'une cité-jardin à gardes mobiles sur les terrains de la guerre dans l'ouvrage d'Hondschoote à condition que les fossés ne soient pas comblés ni les arbres abattus.
La Commission adopte les conclusions de la délégation et émet 80/15/029/114 un avis favorable
1° au classement de l'enceinte fortifiée de Bergues avec ses bâtiments, ses bastions, ses fossés, ses demi-lunes et ses glacis.
2° A l'ouverture dès maintenant d'une instance de classement pour protéger les portes de Cassel et de Dunkerque,
Le chemin couvert, l'avant fossé et le glacis compris entre les couronnes de Saint Winoc et de Hondschoote
La partie est et nord-est des glacis de la couronne de Hondschoote. 80/15/029/115
M. Maringer appelle l'attention de la Commission sur la Grande Chartreuse où l'incendie est à craindre, car une partie du couvent est transformée en hôtel. 80/15/029/116
M. Maringer se propose de demander à la Caisse des Monuments historiques un effort massif pour compléter les mesures prises contre l'incendie et réparer les toitures du monastère ainsi que des chapelles de Casalibus et de Saint-Bruno.
M. Chabaud fait remarquer que plusieurs membres de la Commission manquent habituellement aux séances sans fournir d'excuses. Plusieurs même n'y ont jamais paru.
La Commission proteste énergiquement contre ces façons de faire et adopte à l'unanimité le voeu suivant :
Il peut être pourvu au remplacement des membres qui, sans excuse valable, ont manqué à plus de six séances consécutives.
La Commission émet un avis favorable à l'exécution des travaux proposés par M. Nodet pour la Tour de Trouilles et à la restauration du plafond de la Chambre des Papes, situés dans la baie des Anges.
Le président exprime le voeu de voir 80/15/029/117 créer dans le château de Chambord un musée de l'ethnographie française. Dans la forêt, on pourrait établir un musée en plein air analogue à ceux des pays scandinaves et comprenant des spécimens de toutes les habitations des différentes provinces françaises.
M. Vitry fait remarquer que le cadre royal de Chambord ne conviendrait pas à un Musée du folklore.
M. Morizet ajoute qu'une exposition de tapisseries y serait à sa place.
M. Hautecoeur suggère qu'on réserve la partie du donjon. Dans l'aile d'accès qui est vide actuellement, on pourrait organiser un musée du folklore.
La Commission adopte cette façon de voir.
La Commission est :
1° La démolition des toitures élevées par Mansart, et leur remplacement par des terrasses suivant la disposition ancienne.
2° La conservation de toutes les baies créées au XVIIe siècle.
La Commission émet un avis favorable à leur installation dans l'aile des Ministres. MM. Huisman et Morizet feront une démarche auprès de M. Jeanneney en vue d'obtenir l'autorisation de la questure du Sénat.
La Commission adopte les conclusions du rapport de M. Paquet. Les maisons non encore protégées et qu'il importe de sauver seront, dès maintenant, inscrites à l'Inventaire supplémentaire
La démolition de deux maisons classées sont prévues à ce plan. Pour la maison dite «du Roi de Pologne», qui n'offre pas grand intérêt, la Commission estime qu'il n'y a pas lieu d'intervenir et de compromettre l'aménagement des Quais.
Par contre, elle demande le maintien de l'Immeuble classé de la rue de Beaurepaire, la conservation de la rue Baudrière, du quai au musée des Tapisseries, la prolongation jusqu'au Quai de la montée dite de Saint-Maurice, l'établissement d'une servitude non aedificandi sur les terrains de la nouvelle place créée en face de l'église Saint-Martin, la conservation de la chapelle des Ursulines située derrière l'Hôtel de ville. 80/15/029/119
Le projet de transformation établi par la Ville de Paris ne saurait être adopté, la Commission estime qu'il faut se borner à mettre le tour à l'abri des intempéries et à reconstruire intérieurement quelques planchers permettant de visiter l'édifice et de se rendre compte de sa disposition ancienne. Tout ce qu'on pourrait faire de plus serait discutable.
La Commission adopte le classement des parties suivantes :
1° La façade sur cour et les toitures du bâtiment principal
2° Les deux pavillons d'escalier situés à droite et à gauche du bâtiment principal
3° Le bâtiment bordant la cour d'entrée du côté de la rue des Francs Bourgeois
4° La porte cochère sur la rue Pavée et les deux petits bâtiments attenants
5° Le salon du 2e étage orné de lambris à pilastres corinthiens.
Le reste de l'édifice figurera à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques. 80/15/029/120
La Commission émet un avis favorable à l'inscription à l'Inventaire supplémentaire
La Commission examine le projet établi par M. Achille Carlier. Mais, tant que la mobilisation du personnel n'aura pas été arrêtée, il ne sera pas possible d'établir les détails de l'exécution des mesures à prendre pour protéger les édifices classés en cas d'hostilité.
Les études faites en vue de la mobilisation du service seront continuées et de nouvelles démarches seront faites auprès du ministère de la Guerre. 80/15/029/121
La Commission juge qu'il y a lieu de renoncer à étendre le classement vers l'Ouest, cette tentative ayant soulevé de violentes protestations locales et les parties dont le classement était envisagé n'offrant pas un intérêt considérable.
Les limites fixées par l'arrêté du 13.1.1924 sont maintenues. 80/15/029/122
De grands travaux de réfection du sol étant prévus, la Commission émet un avis favorable au classement afin de pouvoir écarter les projets qui lui sembleraient nuisibles pour ce bel immeuble du XVIIe siècle.
Devant les engagements pris par le Conseil municipal, la Commission émet un avis favorable au classement.
Avis favorable à la remise en état du rez-de-chaussée, à la restauration du 1er étage et des lucarnes. Les baies modernes d'entresol seront conservées ; elles éclairent des logements dont il serait difficile de résilier les contrats de location.
Avis favorable à l'exécution des travaux projetés par M. Formigé
La dépense de 68 853 Francs prévue par M. Tillet, pourrait, semble-t-il, être réduite. Le devis devra être revu. 80/15/029/123
Un des immeubles élevés à la tête du Pont ayant été recouvert récemment d'un crépi d'un effet regrettable ; pour éviter que des travaux analogues achèvent de défigurer cet ensemble d'un grand intérêt, la Commission émet un avis favorable au classement des deux ponts franchissant l'un, le bras principal du Thouet, l'autre, le bras latéral.
Des constructions élevées sur l'île qui sépare ces deux bras et portant les n° 1, 2, 294, 295 et 297 du cadastre.
De la poterne percée dans l'ancien mur d'enceinte de l'île.
La Commission émet un avis favorable au classement qui permettra de sauver ce bel ensemble menacé de destruction.
La Commission adopte le classement des places Wilson, du Marché, de la Mairie et Denis-Dussoubs, à l'exclusion des amorces des rues adjacentes à ces places.
Une négociation sera poursuivie auprès des héritiers Prud'homme, en vue d'obtenir leur consentement au classement d'une partie du terrain qui leur appartient 80/15/029/124 au Sud Ouest de l'église.
La Commission ne saurait admettre le déplacement proposé, car la porte perdrait ainsi sa signification de porte d'enceinte.
d'autre part, son architecture comporte un soubassement descendant jusqu'à fleur d'eau qui compte beaucoup dans la façade et qui serait supprimé si le déplacement était autorisé.
Mais, reconnaissant que l'étroitesse de la porte et son désaxement par rapport au pont constituent une grande gêne pour la circulation, la Commission demande qu'il soit suggéré à la Municipalité d'exproprier les immeubles voisins de la porte. Celle-ci occuperait ainsi le centre d'une sorte de rond-point. Cette disposition permettra de mettre la porte de Mons en valeur, et d'établir un sens unique pour la circulation.
La Commission adopte le classement. 80/15/029/125
L'exécution du plan atteint la Fontaine Coislin, dont le déplacement a été accepté il y a un an. Il y a lieu d'inviter la Ville à exécuter cette opération le plus rapidement possible. Une maison et une porte inscrites à l'Inventaire supplémentaire sont également touchées.
La porte 7 rue Neufbourg devra être déposée et remontée dans la façade d'un immeuble bâti sur les nouveaux alignements. Quant à la maison abbatiale de Saint-Symphorien, qui n'offre pas un grand intérêt, il y a lieu de la rayer de l'Inventaire supplémentaire
La Commission adopte le classement de la Croix sculptée de Lavans-Vuillafans (Doubs), et de la Croix du cimetière d'Ur (Pyrénées-Orientales). 80/15/029/126
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