344 Peut-être Chilly, aujourd'hui
Chilly-Mazarin, ca. Longjumeau, ar. Corbeil.
173 Orsonville, ca. Dourdan, ar.
Rambouillet. La cure de cette paroisse, comprise dans le doyenné de Rochefort,
était à la nomination du prieur de St-Martin-des-Champs, La donation d'Orsonville
(terre, église et dépendances) est confirmées dans la bulle du 14 juillet
1096
345 Haudoin avait succédé dès 1100 comme
préchantre à Gauslin, qui l'était en 1095. En 1114, on le voit remplacé par Giroie
(Géré), que cette charte nous apprend être son frère. — En 1100, Guérin était
sous-chantre et Vougrin chancelier ; mais le doyen se nommait Arnaud. La
Gallia (VIII, 1200) n'a pas connu le décanat de Seran, cité en
1100 comme sous-doyen (Luchaire,
Louis VI, 330 ; Merlet,
Cartulaire de N.-D. de Chartres).
188 Gallardon, ca. Maintenon, ar.
Chartres. — Guérin de Gallardon avait pour père Hervé
I, seigneur de
Gallardon ; pour sœur la
B. Hildeburge, religieuse à Saint-Martin de
Pontoise après avoir été mariée à Robert d'Ivry ; pour frère Hugues
I,
sire de Gallardon, avec lequel il partit pour Jérusalem en 1096 (Ms. lat. 17139,
fol. 61). Il succomba dans le cours du voyage. Mabile, sa veuve dont il n'avait
pas eu d'enfants, se remaria à Aimon le Roux, d'Etampes. Hervé
I,, père
de Guérin, était fils d'Herbert, sire de Gallardon, qui donna à St-Père de
Chartres, du temps d'un abbé homonyme (1067-1074), des biens en Dunois lui venant
de sa mère Retrude. Celle-ci était veuve d'Ansoud
II le Riche de Paris,
frère d'Herbert, évêque d'Auxerre et fils d'Ansoud
I et de Raingarde
(Voir note 6). La terre de Gallardon appartenait antérieurement, avec celles de
Bouafle et de Thimert, à Aubert le Riche, neveu d'Anne, abbé de Jumièges. Aubert
épousa Aubour
(Hildeburgis) de Bellême dont il eut Aubert
II, Guérin et Thion, Aubert
II ne laissa que des filles.
L'aînée, Froheline, porta Thimert à son mari Gasce ; la seconde, qui épousa
Herbert de Paris, eut en dot Gallardon (Append. au
Cartul. de St-Martin de
Pontoise,
p. 469).
255 Cette donation ne nous est pas
parvenue. Geudoin, fils de Raimbaud cité en 1106, eut vraisemblablement pour père
Raimbaud de Chaunay, cité en 1081 ; cette famille doit se rattacher par alliance à
Geudoin vicomte de Chartres, tige de la maison du Puiset, c'est ce qui explique
qu'elle ait joui au Puiset de droits seigneuriaux.
346 Saint-Loup, ca. Illiers, ar.
Chartres.
347 Etienne, second fils du vidame Guerri
et d'Hélisende, tint la vidamé de Chartres lorsque mourut son frère aîné Hugues
II, après 1104 (Cf. ms. lat. 5417, fol. 565) ; il devint abbé de
St-Jean-en-Vallée et trépassa en 1130. Son neveu Hugues
III, dont il
avait été le tuteur, était vidame en 1118 (Coll. Baluze,
XXXVIII,
ii), et mourut avant 1126. Hélisende hérita de la vidamé, qui passa
après elle à Élisabeth ou Isabelle, sa fille, mariée à Guillaume de errières
(Coll. Moreau,
LII, 102). Cf. notes 38 et 257.