365 On s'explique malaisément pourquoi
l'évêque Thibaud maintient au rang de simple chapelle l'église
St-Jacques-de-la-Boucherie, qu'Innocent
II en 1136 (nº
215,
p. 42) et ses successeurs qualifient « ecclesia sancti
Jacobi
cum parochia ».
59 Saint-Jacques-de-Ia-Boucherie,
chapelle fondée par le maréchal Flohier après 1080, donnée à St-Martin entre 1108
et 1117, et devenue église paroissiale dès 1119 (Cf.
t.
I,
pp. 160, 237, et les notes 268 et 362).
60 Saint-Nicolas-des-Champs, chapelle
voisine du monastère, citée seulement dans la bulle de Calixte
II en
1119.
58 Chaillot, village compris maintenant
dans Paris, et dont l'église consacrée à Saint-Pierre, appartenait à St-Martin dès
le 14 juillet 1096 (Cf.
t.
I,
p. 121).
181 Bobigny, ca. Noisy-le-Sec, ar.
Saint-Denis (Seine).
68 Louvres,
Puiseux-lès-Louvres, Fontenay-lès-Louvres, ca. Luzarches, ar. Pontoise (Cf.
t.
I,
pp. 121, 132, 246).
366 Nozay, ca. Palaiseau, ar. Versailles,
et Marcoussis, ca. Limours, ar. Rambouillet, avaient été démembrés du fief
épiscopal vers la lin du
xe siècle en faveur
d'Ansoud le Riche qui fonda le chapitre de St-Denis-de-la-Châtre. Cf.
t.
I,
p. 260, nº
163.
157 Limoges-Fourches, ca.
Brie-Comte-Robert, ar. Melun (t.
I,
pp. 8-11). —
Fontaine-le-Port, ca. Le Châtelet-en-Brie, ar. Melun ; et son église Saint-Martin
(D. Marrier,
p. 520).
77 Conflans-l'Archevèque, éc.
Charenton-le-Pont, ar. Sceaux (Cf.
t.
I,
p. 132).
72 Livry,
Gournay-sur-Marne, Noisy-le-Grand, ca. Le Raincy, ar. Pontoise (Cf.
t.
I,
pp. 16, 168, 190).
b En marge, d'une écriture du
xive siècle, répondant à ces deux étoiles :
« Priori de Marrolliis ».
367 Gragy, auj. Grégy, ca.
Brie-Comte-Robert, ar. Meaux.
76 Attilly, éc. Férolles, ca.
Brie-Comte-Robert, ar. Melun (Cf.
t.
I,
p. 251).
c Ces trois mentions
concernent la même paroisse de Champigny.
368 Gentilly, ca. Villejuif, ar.
Sceaux.
69 Champigny-sur-Marne,
ca. Nogent-sur-Marne, ar. Sceaux (Cf.
t.
I,
p. 32).
74 Rouvray, éc. Pantin, ar.
Saint-Denis (Cf.
t.
I,
pp. 32, 173).
d Ces deux mentions concernent la
même paroisse de Pantin.
298 Saint-Brice-sous-Montmorency, ar. Pontoise. Raoul
II Le Bel et Lisoie,
sa femme, donnèrent à St-Martin la moitié de la dîme des fèves de Saint-Brice, au
temps du prieur Mathieu I
er (Cf.
t.
I,
p. 281 et
p. 193, note 305). — Mathieu Le
Bel, fils de Raoul
II, frère de Raoul
III et de Jean, avait
en 1148 deux fils : Amauri, l'aîné, marié à Isabelle ; et Adam, le cadet.
e Ces deux mentions concernent la
même paroisse de St-Brice-sous-Montmorency.
4 Clamart, ca. Sceaux (Seine)
267 L'église
paroissiale d'Essonncs (ca. et ar. Corbeil), dédiée à Saint-Etienne, appartenait à
la dotation du prieuré de Gournay-sur-Marne, ainsi que celles de Berchères et
Pontault (ca. Tournan, ar. Melun). Cf. la bulle d'Honoré
II, de 1127,
t.
I,
p.
294. — L'église d'Ozoir-la-Ferrière (ca. Tournan), déjà confirmée à
St-Martin par une charte d'Etienne de Senlis, évêque de Paris, en 1124 (cf.
t.
I,
p. 281), fut cédée au prieuré de Gournay par le prieur
Eudes
II en 1150 (nº
319).
f Ces deux mentions concernent la
même paroisse d'Ecouen.
369 Ezanvillle, ca. Ecouen, ar.
Pontoise.
268 Attainville, ca Ecouen, ar.
Pontoise. On n'a point l'acte de donation, mais en même temps qu'apparaît ce
nouveau bénéfice parmi le patrimoine de St-Martin-des-Champs, les propriétés de
Taverny, de Tour (Saint-Prix) et de Moncelles ne sont plus énumérées. Y eut-il un
échange opéré dans le ressort de la baronnie de Montmorency ? — Cf.
p. 42, note 61
suprà. On remarque aussi
l'omission du tour de la rue aux Juifs, à Paris, et des moulins sur la Seine (Cf.
t.
II,
p. 42, notes 61 et 62 ;
pp. 95 et 97,
notes 148 et 156)
g Ces deux mentions concernent la
même paroisse d'Attainville.
i Ces trois mentions concernent la
même paroisse de Champigny.
370 Chennevières-lès-Louvres,
Epiais-lès-Louvres, ca. Luzarches, ar. Pontoise.
73 Bondy, ca. Noisy-le-Sec, ar.
Saint-Denis (Cf.
t.
I,
p. 16). « Clicei » n'a rien de commun avec Clichy (
Clipiacum) et doit se lire « Clacei » ; c'est Clacy, écart de
Noisy-le-Sec (ib.,
pp. 106 et 169).
j Ces deux mots ont disparu en
b, et plus loin « habenda " et " possidenda " deviennent "
habendam " et " possidendam ».
70 Arnouville, Sevran, ca. Gonesse, ar.
Pontoise (Cf.
t.
I,
pp. 67, 190).
185 Drancy, ca. Noisy-le-Sec, ar.
Saint-Denis (Seine) ; l'église fut concédée à St-Martin en 1098 (t. 1,
p. 132).
186 Charonne, anc. commune englobée dans
l'agglomération parisienne. Le don de l'église est une adjonction aux bénéfices de
St-Martin ; dans la bulle de 1147, les églises de Drancy et Charonne sont
confirmées au monastère.
319 Moisselles, ca. Ecouen, ar. Pontoise. — Il n'est point question de cette dîme
dans la bulle du 2 juin 1147.
Etienne Boucheau se fit moine à St-Martin ; son nom figure dans les dyptiques
funèbres du xiie
s., sous la forme « Stephanus Bucel », postérieurement à
1155. Cet acte montre que les Boucheau, famille de la bourgeoisie
parisienne, sont une branche des Le Riche de Paris.
k Ces mentions concernent, l'une
Fontenay-sous-Bois, l'autre Fontenay-lès-Louvres.
64 Roissy, Pontault, ca.
Tournan, ar. Meaux (
lb., note 141).
l Ces deux mentions concernent la
même paroisse de Roissy.
66 Eragny, Jouy-le-Moutier, ca. Pontoise
(Cf.
t.
I,
pp. 134, 138, 246).
m Ces deux mentions concernent la
mémo paroisse de Pantin.
67 Châtenay, Domont, ca.
Ecouen, ar. Pontoise (Cf.
t.
I,
pp. 132, 237, 281).
o Ces deux mentions
concernent la même paroisse d'Attainville.
371 Argenteuil, ar. Versailles.
372 Epinay-Champlâtreux, ca. Luzarches,
ar. Pontoise.
373 Villiers-le-Sec, ca. Ecouen, ar.
Pontoise.
374 Mareil-en-France, même canton.
375 Franconvillc, comm.
St-Martin-du-Tertre, ca. Luzarches.
45 Marolles-en-Brie, ca. La
Ferté-Gaucher, ar. Coulommiers, qu'il ne faut pas confondre avec une localité
homonyme du diocèse de Paris (Cf.
t.
I,
p. 56, note 78).
q Ces deux mentions concernent la
même paroisse de Gretz.
270 Gretz, ca. Tournan, ar.
Melun. — Fontaine-le-Fort, ca. Le Châtelet-en-Brie, ar. Melun. L'église était
dédiée à Saint-Martin (Marrier,
p. 520)
376 Châtres (aujourd'hui Arpajon), ar.
Corbeil.
271 Chevry-Cossigny et Ferolles-Attilly,
ca. Brie-Comte-Robert, ar. Melun.
377 Yerres, ca. Boissy-St-Léger, ar.
Corbeil.
378 Santeny, même canton.
379 Servon, ca. Brie-Comte-Robert, ar.
Melun (S.-et-M.).
380 Brunoy, ca. Boissy-St-Léger, ar.
Corbeil.
381 Peut-être faut-il corriger
« Cornut ».
63 Noisiel, ca. Lagny, ar. Meaux (Cf.
t.
I,
p. 97, note 137).
r Ces trois mentions concernent la
même paroisse de Champigny.
s Ces deux mentions concernent la
même paroisse de Roissy.
253 Le 25 octobre 1145, commence la
quinzième année de Louis
VII à compter de son premier sacre. L'année
pascale 1145 se termina le 30 mars 1146, veille de Pâques.
382 Le Chenay, comm. de Gagny, ca. Le
Raincy, ar. Pontoise.
269 Villiers-Adam, ca. L'Isle-Adam, ar.
Pontoise
383 Méry-sur-Oise, ca. l'lsle-Adam, ar.
Pontoise. L'église avait été donnée à St-Martin-des-Champs entre le 23 mars 1143
(elle ne figure pas dans la bulle d'Innocent
II, nº
265) et le 2 juin
1147. Il faut corriger, en effet, dans la
bulle d'Eugène
III, nº
295,
p. 172, ligne
11, « ecclesiam de
Meru « en » ecclesiam de
Meri ».
t Ces deux mentions concernent la
même paroisse de Gretz.
81 Aunay, près Saint-Cloud (Cf.
t.
I,
p. 200, note 312).
384 Cette charte de l'évêque Thibaud,
ayant été collationnée sur l'original, nous est donc parvenue telle qu'elle
subsistait dans les archives de St-Martin. Elle a été transcrite au cartulairc
Arch. nat., LL 1351, dont aucun acte n'est postérieur à 1209 ; son authenticité
semble donc probable. Pourtant sa rédaction est bien étrange. Les doubles emplois
y fourmillent ; la paroisse de Champigny reparaît à trois reprises. Il faudrait
admettre qu'un brouillon, rassemblant des indications non coordonnées, fut revêtu
du sceau du prélat, comme le préambule l'annonce. Une autre matière à surprise est
l'extraordinaire accroissement, en moins d'une dizaine d'années, du nombre des
bénéfices ecclésiastiques possédés par St-Martin dans le diocèse de Paris, alors
qu'aucun titre de propriété n'en révèle l'origine. Mais les renseignements
précieux fournis par les concessions d'anniversaires — dont il est hors de doute
qu'une faible partie seulement nous est connue — montrent que St-Martin
s'enrichissait sans bourse délier grâce à des acquisitions faites à son profit par
des bienfaiteurs, profès, convers ou associés, qui en conservaient parfois la
jouissance viagère. Les actes n'étant point passés au nom du couvent, il n'en a
pas été conservé de traces dans les cartulaires.